jeudi 1 décembre 2011

Des phrases de sens...

... pour cette nuit et la fin de semaine.

Merci encore une fois à la sagesse chinoise (Enfin, pour le coup, je n'en suis pas sûr, mais c'est assimilé à des pensées de la tradition chinoise.)

Putain que j'aime cette civilisation et sa manière d'avoir saisi depuis si longtemps l'âme et l'esprit humain à une telle profondeur que ces vérités sont toujours aussi cinglantes et pointues...

 

"Si vous aimez quelqu'un pour sa beauté,

Ce n'est pas de l'amour, c'est du désir [charnel].

Si vous aimez quelqu'un pour son intelligence,

Ce n'est pas de l'amour, c'est de l'admiration.

Si vous aimez quelqu'un pour sa richesse et ses biens,

Ce n'est pas de l'amour, c'est de l'intérêt.

Si vous aimez quelqu'un pour sa bonté,

Ce n'est pas de l'amour, c'est le confort de l'habitude.

Et si vous aimez quelqu'un pour le confort de l'habitude,

Ce n'est pas de l'amour, et cette personne a plutôt sa place comme ami extraordinaire

Par contre, si vous aimez quelqu'un et que vous ne savez pas pourquoi vous l'aimez,

Mais que tout votre corps et tout votre esprit tendent vers cette personne lorsque vous y pensez...

Ceci est de l'amour. Vivez-le, parce qu'il est pur, unique, et rare en ce monde"

 

En lisant ces quelques phrases, je me suis souvenu d'une réflexion que j'avais eue il y a quelques temps et dont la conclusion avait été :

"Tu apprécies quelqu'un pour ses qualités.

Mais tu l'aimes pour ses défauts".

Imaginez d'aimer quelqu'un pour ses qualités déjà, combien plus ce sera alors pour ses défauts...

 

Voilà pour les sentences. A réfléchir, méditer, malaxer, retourner, reprendre, remâcher, redigérer, s'en repaître, s'en rafraîchir et s'en rassasier.

 

 

J'avais prévu de faire des billets assez cinglants sur des questions de liberté, politique, religion, etc, enfin, j'en ai des caisses dans la tête et dans les doigts, mais ces derniers jours ont été loin d'être propices à l'écriture de ce type de sujets.

Je retrouve petit à petit un peu de sérénité après la disparition d'une personne qui m'était chère. Je ne tiens pas à en parler ici, c'est encore très frais, et ce genre de chose, je le sais bien, met du temps à cicatriser.

La vie continue de toute façon. Allez, on se met un coup de pied au cul et on se bouge.

 

Bon, vendredi soir, grosse fête en prévision, donc costar couilles croisées irréprochable (le costar ET le croisement. Les couilles, sont quant à elles, déjà irréprochables, non mais !!), la banane (sur le visage, hein, rien à voir avec les partie sus-nommées) et une bonne dose de RedBull histoire de tenir une grande partie de la nuit.

Pas question de finir sur les genoux.

Ce serait d'ailleurs hyper désagréable avec les escaliers et les gravillons...

1 commentaire:

Unknown a dit…

dommage que tu ne mettes pas la source de tes citations : j'aime beaucoup la 1ère, mais j'ai beau chercher sur google, je ne la trouve pas telle que tu l'as écrite ici ... il n'y a jamais la strophe sur l'ami extraordinaire ... qui est pourtant tellement vraie à mes yeux !!!