vendredi 25 juin 2010

Yes !

Allez, dernière ligne droite avant le week-end...
Réunion à 15h30 qui va encore être bien pourrie et durer 3h, tout ça pour ne rien dire...
Ensuite, ce soir, teuf avec des potes flics, et demain soir, soirée anniv avec mon poto Gaétan...

Voilà un programme de week-end comme je les aime... En plus, soleil dans la journée, et douceur de température la nuit c'est que du bonheur !!
Ca va faire encore des nuits entières à refaire le monde, sur la terrasse d'un café, les rues de Paris vides, devant un thé vert ou une bière...
A se demander si, finalement, c'est pas un peu ce qui nous fait avancer aussi, de refaire le monde de temps en temps ...

Allez, plus que quelques heures !!!

mardi 22 juin 2010

Philosophie Instantanée, Acte I

On le sait tous et toutes, nos vies ont des hauts et des bas.
Dans les hauts, pas de souci, on se sent fort et on oublie facilement tout ce qui nous pose problème. Mais voilà, il y a les bas. Et les bas... on a parfois du mal à gérer.
Ce que je vous donne là, c'est un moyen, un outil très puissant pour justement arriver à mieux gérer les bas. Cela s'appelle "apprivoiser les peines". Cherchez pas, c'est moi qui l'ai créé, ça ne se trouve dans aucun bouquin de psychologie, de psychanalyse ou je ne sais quoi. C'est une exclusivité, un cadeau du "nouveau Marc". Il faut bien que je puisse en faire profiter les personnes les plus proches. Ou celles qui ont le courage de me lire, mes amis, mes cigales ;) et quelques éminents inconnus qui tombent ici totalement par hasard et n'y reviendront jamais (et qui ne liront d'ailleurs probablement jamais ce billet jusqu'au bout !).

Il y a quelques temps de cela, sur un sujet pour lequel j'ai eu de très forts bas, mais aussi de très forts hauts, on m'a demandé comment je parvenais à gérer ça aussi facilement. Et c'est là où rentre en jeu le fait de savoir apprivoiser nos peines.
Il n'y a que 2 cas de figures :
1 / On s'effondre comme une merde, on déprime, on s'enferme sur son nombril ou on s'enfonce dans une spirale de non-sens en se fustigeant des actes désespérés qu'on a.
2 / On garde la tête haute, la vie continue, rien n'est perdu, et ce n'est pas parce qu'on a un peu mal au coeur qu'il faut que tout soit remis en cause, y compris et surtout les fondements même de soi. C'est dans ce cas qu'on apprend progressivement à apprivoiser sa ou ses peines. Oui, la vie est loin d'être rose. Oui, on n'a pas toujours ce qu'on veut, loin de là. Mais quand on a la force de pouvoir se regarder dans le miroir tous les matins sans avoir à baisser les yeux, parce qu'on est content de ce qu'on a, de ce qu'on a vécu, que c'est ce qu'on voulait et qu'on veut toujours, alors oui, on est capable d'apprivoiser ses peines. Le but n'est pas d'avoir à se forcer à ça. L'objectif est de savoir se tourner vers le présent et l'avenir.

C'est drôle, parce c'est EXACTEMENT le sujet de philosophie des sections littéraires cette année:  Faut-il oublier le passé pour se donner un avenir ?
Je sais bien comment j'aurais mené ma dissertation...
1/ Non, surtout pas : que ce soit historiquement, ou par expérience personnelle, le passé est ce qui fonde notre personnalité. Notre moi profond. Il s'ancre dans les différentes éducations: celle de nos parents, de nos maîtres ou encore notre propre éducation. Si nous tirons un trait sur notre passé pour construire notre avenir, nous oblitérons les fondements même de ce que nous sommes pour essayer de redémarrer de zéro l'humain que l'on est déjà. Ce qui est parfaitement impossible.
2/ Oui, il le faut. Evidemment qu'il le faut. Si nous restons dans le passé pour construire notre avenir, nous engageons un éternel recommencement sans aucune évolution possible. Le passé est passé, finalement, nous ne pouvons ni le changer ni le modifier pour l'utiliser à bon escient, mieux vaut donc tirer un trait dessus et avoir la démarche de recommencer. "Sans cesse remet sur le métier ton ouvrage" nous dit le proverbe. La conscience de ce que nous somme aujourd'hui est issue de notre passé, et même si elle nous dit qu'une chose est bien, ou est mal, quand elle-même sera considérée comme du passé, sera-t-elle toujours la même  ?
3/ Synthèse : s'il est vrai que nous ne sommes pas prisonniers de notre passé, il y a cependant quelque expérience, quelque peine, quelque plaisir, quelques enseignements à en tirer. Ce qui signifie qu'autant notre passé ne sera jamais effaçable, et qu'elle est une partie intégrante de nous, de nos souvenirs, de nos pensées actuelles, autant elle ne saurait influencer notre présent ni notre avenir. Non, bien sûr que non, nous n'effacerons jamais notre passé. Et notre conscience présente en est la preuve. Et si l'avenir change la conscience présente au fur et à mesure qu'elle devient passée, elle change aussi nos aspirations, nos espoirs, nos envies, même les plus secrètes.
Définitivement, notre passé est une base sur laquelle nous nous appuyons pour tendre, à chaque instant de notre présent, vers notre futur... Même au travers de changements parfois forts.

Dans le futur, rien n'est jamais écrit. Et certainement pas ce que nous serons demain. Déjà que pour ce que nous sommes aujourd'hui, nous avons fort à faire... Mais voilà, nous passons une grande partie du temps à nous morfondre sur nos états et nos actes passés.
En apprenant à apprivoiser nos peines, on apprend également à moins remettre en question qui nous sommes réellement, ce que nous éprouvons réellement. Et donc à se construire un avenir dans lequel nous serons bien mieux, envers les autres et envers soi-même, avec toute l'ouverture des possibles devant nous...

"Tu dois devenir l'Homme que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Deviens sans cesse, sois le maître et le sculpteur de toi-même". Nietzsche.
C'est un peu comme un Carpe Diem, mais en beaucoup plus fin et plus profond.

Puissiez-vous savoir apprivoiser vos peines, faire jaillir vos souhaits et savoir exprimer votre présent pour en bâtir votre avenir. Parce que les barrières ne vous permettront jamais d'avancer. Alors que VOTRE liberté, oui.

vendredi 11 juin 2010

Invincible ?

En ce moment, je vole, je réduis des murs en poussière, vois à travers les choses et les vêtements.
Un vrai Superman.
Sans le slip rouge moule-burnes-poutre-apparente sur le pantalon bleu électrique. C'est un manque de goût évident... Et puis les slips kangourous, c'est chiant. Bref.

Ce que je fais réussit et me réussit, cette sensation d'invincibilité qui me tient de plus en plus fort depuis quelques semaines s'est définitivement imposée.
Bon, j'ai évidemment trouvé de la kryptonite à force de remuer tout ça aussi fort, mais ma foi, on s'y fait bien finalement. Ca pique un peu et puis on s'habitue.

Tout récemment encore, mercredi très exactement, le procès de mon ami (sur lequel j'ai fait 1 déposition et quelques lettres diverses) a abouti sur le verdict : 3 ans fermes (au lieu de 12 à 18 demandés par le procureur). Dont 2 ans qu'il a déjà purgé, donc d'ici 1 an et quelques semaines, il est normalement libre.
Voilà de quoi penser au futur !

Et ce n'est qu'un des nombreux exemples.
Le hasard, la chance, ça n'existe que parce qu'on sait les provoquer. Et s'il y a bien quelquechose que je fais (parfois, je l'avoue sans aucun détour, un peu trop) depuis ces derniers temps, c'est provoquer la chance, et me pousser sans arrêt vers le haut.
Interdiction de baisser les yeux et de descendre le menton vers le sol. La tête haute, le regard droit. Et je trace ma route dans les paysages que je choisis.

Il paraît qu'entre 30 et 35 ans, on a souvent un déclic. Ou un changement important. On m'a dit ça il y a plus de 10 ans. Et je l'ai ré-entendu par hasard (!!) plusieurs fois récemment. Et non content de l'avoir entendu, je l'ai vécu. Et vu vivre.
J'aime :)

Bon, par contre, nan, le Groënland pour crêcher, c'est pas terrible. Je préfère aller vers l'Equateur ;)

vendredi 4 juin 2010

Interlude musicale...

Aujourd'hui, rien de tel qu'une bonne grosse poussée de testostérone dans les veines...
Je me shoote aux cyanides, ou plus exactement à Cyanide, de DeathStars. Du bon rock sombre et velu, les yeux blancs à la Marylin Manson, une voix à la Beseech, et c'est parti pour de l'énergie pure injectée directement en intra-cardiaque...



Chopage de mp3 en cours, j'ai découvert un petit soft absolument génial, qui s'appelle songr
Capable de rechercher sur 17 moteurs de recherches de mp3 simultanément, d'extraire la bande son des video youtube et plein d'autres trucs très sympas.
A lire : http://www.korben.info/songr-un-petit-soft-pour-telecharger-des-mp3.html

Have fun ;)