Aujourd'hui, à cette heure précise d'ailleurs, je quittais il y a 3 ans un boulot et surtout des gens qui m'étaient chers...
Anniversaire de souvenirs, de rires, de sourires, de moues, de regards, de discussions, d'intensité, de moment forts...
3 ans déjà...
Une nostalgie certaine, un manque certain, une tendresse certaine...
Ah oui, sinon aujoud'hui, c'est Halloween et son cortège de traditions américaines... Célébration de rites païens ! Ma foi je trouve cela amusant et même intéressant par certains côtés.
Ce jour amène une certaine ambiance, une certaine magie qui n'est pas sans rappeler les sombres mystères que l'homme a pu oublier et les croyances qu'il a eu étant enfant...
Autant j'étais contre quand cette tradition est arrivée, innondant le marché de produits de consommation, autant je trouve aujourd'hui qu'elle s'est adaptée et reprend un peu des airs de mystères délicieux...
Ah oui, j'ai failli oublier ... J'ai effleuré il y a peu un livre de Tony Bentley (ex-danseuse étoile new-yorkaise).
Je ne vous en livre qu'une seule citation, celle qui s'est glissée immédiatement en moi comme on se coule sous la couette chaude en hiver avec un sourire de béatitude :
"Le désir, l'amour, est sensuel, une manifestation du libre choix; l'attachement, l'habitude, au contraire, est l'ennemi du libre choix"
C'est ma réflexion de ce long week-end...
dimanche 31 octobre 2010
mercredi 27 octobre 2010
Pensées du jour...
Une première forte et intense pensée du jour : une sagesse chinoise, évidemment, qui m'est tombée dans l'escarcelle ce matin même, lors de ma (presque) quotidienne lecture de cette source infinie de réflexion...
"Quand les loups sont nombreux à hurler, la meute n'est guère loin".
J'ai mis quelques instants à comprendre toute sa portée, mais cela pourrait être résumé ainsi :
Si dans une situation, vous pensez (ressentez) que quelquechose est là, ce n'est pas une coïncidence. Ou, plus clairement, quand il y a un doute, c'est qu'il n'y a plus de doute.
La seconde sagesse qui m'a frappé est la suivante :
"La rivière connaît son lit. Mais c'est quand vient le temps des crues qu'elle découvre sa vraie nature."
Whouaou, elle est pour moi celle-là. C'est quand la rivière sort de son chemin qu'elle s'épanouit...
Me bluffera toujours, la précision avec laquelle ces citations s'appliquent parfois à mon expérience...
Allez, la petite troisième qui m'a mis une claque:
"Si tu arrêtes d'espérer, ton cœur cesse de battre"
Ok, bon, j'avoue, celle-là m'a décroché les molaires. Avec grand plaisir d'ailleurs.
Allez, pour le souvenir, une petite photo qui respire le grand air pur et le soleil :
"Quand les loups sont nombreux à hurler, la meute n'est guère loin".
Je n'ai pas de doutes... Au lieu de maudire l'obscurité, j'ai allumé une bougie :)
"Quand les loups sont nombreux à hurler, la meute n'est guère loin".
J'ai mis quelques instants à comprendre toute sa portée, mais cela pourrait être résumé ainsi :
Si dans une situation, vous pensez (ressentez) que quelquechose est là, ce n'est pas une coïncidence. Ou, plus clairement, quand il y a un doute, c'est qu'il n'y a plus de doute.
La seconde sagesse qui m'a frappé est la suivante :
"La rivière connaît son lit. Mais c'est quand vient le temps des crues qu'elle découvre sa vraie nature."
Whouaou, elle est pour moi celle-là. C'est quand la rivière sort de son chemin qu'elle s'épanouit...
Me bluffera toujours, la précision avec laquelle ces citations s'appliquent parfois à mon expérience...
Allez, la petite troisième qui m'a mis une claque:
"Si tu arrêtes d'espérer, ton cœur cesse de battre"
Ok, bon, j'avoue, celle-là m'a décroché les molaires. Avec grand plaisir d'ailleurs.
Allez, pour le souvenir, une petite photo qui respire le grand air pur et le soleil :
"Quand les loups sont nombreux à hurler, la meute n'est guère loin".
Je n'ai pas de doutes... Au lieu de maudire l'obscurité, j'ai allumé une bougie :)
vendredi 22 octobre 2010
Fin de semaine volcanique...
J'avais oublié combien c'était bon, la fureur de l'état sauvage.
D'où mon changement (temporaire) de photo...
Alors oui, elle fait peur, on n'aime pas, elle est horrible, tout ce que vous voulez...
Mais putain que c'est bon...
2 projets sur les 6 que je mène de front sont terminés ce soir, la semaine prochaine va déjà être plus cool...
J'arrive en fin de semaine sur les genoux, le dos qui me tiraille de partout, des fourmis dans les jambes, des courbatures dans la nuque... Heureusement que je sais me masser, ça tempère les douleurs et me soulage un peu...
Allez, un bon we qui se pointe... enfin je l'espère ! On verra bien.
Un peu de guitare (tiens, faut que je bosse Hasta Siempre, Thunderstruck et quelques autres trucs), un peu de cuisine, un peu d'alcool, beaucoup de rire, un cinoche ?, un peu d'air pur, un peu d'aventure, un peu de kung-fu, enfin on verra tout ça...
D'où mon changement (temporaire) de photo...
Alors oui, elle fait peur, on n'aime pas, elle est horrible, tout ce que vous voulez...
Mais putain que c'est bon...
2 projets sur les 6 que je mène de front sont terminés ce soir, la semaine prochaine va déjà être plus cool...
J'arrive en fin de semaine sur les genoux, le dos qui me tiraille de partout, des fourmis dans les jambes, des courbatures dans la nuque... Heureusement que je sais me masser, ça tempère les douleurs et me soulage un peu...
Allez, un bon we qui se pointe... enfin je l'espère ! On verra bien.
Un peu de guitare (tiens, faut que je bosse Hasta Siempre, Thunderstruck et quelques autres trucs), un peu de cuisine, un peu d'alcool, beaucoup de rire, un cinoche ?, un peu d'air pur, un peu d'aventure, un peu de kung-fu, enfin on verra tout ça...
jeudi 14 octobre 2010
Affronter la mort...
Le père d'une amie proche.
Un bon vivant, grand découvreur et voyageur, grand homme par ses connaissances et sa soif d'apprendre, de savoir jusqu'à ses derniers instants.
Il a dû payer le Passeur d'une pièce jetée du bout du pouce, en le toisant d'un sourire ironique, le même qu'il arbore sur toutes ses photos, les reflets dans ses cheveux bouclés blanchis par l'âge lui faisant une auréole de bienheureux bonhomme qui a su profiter de cette vie.
Parti dans la nuit d'hier sans avertir personne.
Repose en paix Jean †.
Tu as affronté la mort tellement de temps... et tu l'as vaincue.
Un bon vivant, grand découvreur et voyageur, grand homme par ses connaissances et sa soif d'apprendre, de savoir jusqu'à ses derniers instants.
Il a dû payer le Passeur d'une pièce jetée du bout du pouce, en le toisant d'un sourire ironique, le même qu'il arbore sur toutes ses photos, les reflets dans ses cheveux bouclés blanchis par l'âge lui faisant une auréole de bienheureux bonhomme qui a su profiter de cette vie.
Parti dans la nuit d'hier sans avertir personne.
Repose en paix Jean †.
Tu as affronté la mort tellement de temps... et tu l'as vaincue.
mercredi 13 octobre 2010
Hasta Siempre...
Hé oui, ce matin encore, c'est ce chant de liberté et de rage qui m'accompagne sur le chemin du boulot.
Je marche contre le vent, le froid pique un peu les doigts... Une jeune femme, sur le même trottoir me croise avec un joli sourire à mon égard, après m'avoir regardé des pieds à la tête, mon manteau volant dans le mouvement derrière moi. J'adore ce cuir.
Dans ma tête, les pensées claquent comme les pans de mon manteau au vent d'automne...
Envie qu'on me chante cette chanson...
Je marche contre le vent, le froid pique un peu les doigts... Une jeune femme, sur le même trottoir me croise avec un joli sourire à mon égard, après m'avoir regardé des pieds à la tête, mon manteau volant dans le mouvement derrière moi. J'adore ce cuir.
Dans ma tête, les pensées claquent comme les pans de mon manteau au vent d'automne...
Envie qu'on me chante cette chanson...
mardi 12 octobre 2010
"Quod non me interficit, id me fortiorem reddit."
Ce qui ne me tue pas me rend plus fort...
Hé oui, quelques restes de latin, aussi moi... J'aime les langues vivantes, j'aime les pratiquer intensément, mais parfois le latin garde un certain charme rugueux aussi...
Ce qui ne tue pas me rend plus fort...
Je suis un Superman en devenir alors, au vu de l'intensité de la chose ...
Longtemps que je ne m'étais coltiné une telle difficulté, une telle épreuve. Ma foi, s'il faut en passer par là...
Allez, aujourd'hui va être une journée de malade... RedBull obligatoire si je veux tenir au boulot...
Ptain, mais c'est quoi ce courant d'air du côté gauche de mon corps ?!!!
Hé oui, quelques restes de latin, aussi moi... J'aime les langues vivantes, j'aime les pratiquer intensément, mais parfois le latin garde un certain charme rugueux aussi...
Ce qui ne tue pas me rend plus fort...
Je suis un Superman en devenir alors, au vu de l'intensité de la chose ...
Longtemps que je ne m'étais coltiné une telle difficulté, une telle épreuve. Ma foi, s'il faut en passer par là...
Allez, aujourd'hui va être une journée de malade... RedBull obligatoire si je veux tenir au boulot...
Ptain, mais c'est quoi ce courant d'air du côté gauche de mon corps ?!!!
mercredi 6 octobre 2010
Dies nihila...
Ces derniers jours, semaines, ont été plutôt mouvementés.
Je crois que je me mets encore plus dans mon boulot pour éviter de trop penser, de trop réfléchir, de trop ressentir.
Depuis que je suis passé directeur, j'ai réussi à développer la capacité à faire 10 choses à la fois (enfin... disons 5, c'est déjà pas si mal).
Ce matin, c'est Hasta Siempre Comandante à fond dans les oreilles... Une version plus rageuse de Interitus Dei. Pas forcément la meilleure -Celle de Nathalie Cardone est juste fabuleuse-, mais j'ai besoin de méchantes grattes ce matin, de me décrasser la tête, de me la nettoyer.
Je reluque joyeusement une Ducati 900 qui s'est arrêtée devant le passage piéton. La silhouette qui monte cette bête est visiblement féminine, svelte. Je ne vois pas son visage à cause de la visière noire, mais de longs cheveux reposent sur le blouson serré Dainese qui souligne ses formes. Un petit mouvement de la tête me laisse à penser qu'elle aussi me regarde dans mon long manteau de cuir noir.
Me verrai bien sur une moto, avec ce manteau (en faisant attention que les pans ne se prennent pas dans les roues !). Faut juste que je passe ce putain de permis. Remarque, vu que mes vacances en République Dominicaine se sont envolées...
Bon, parlons d'autre chose.
Les gens ont parfois des réactions curieuses.
Quand on a faim, on mange. Quand on a soif, on boit. Quand on a envie de pisser... Bon, on arrive à se retenir un peu, mais pas longtemps (surtout pour la gente féminine, n'est-ce-pas ;) !!). Cette dernière citation est pourtant bien intéressante dans un sens figuré. On ressent un besoin impérieux, on sait que c'est la bonne chose à faire, mais on se retient quand même.
Pourquoi quand on a des évidences devant les yeux, on hésite autant, alors ?
La peur de mal faire ?
La peur de l'inconnu ?
La peur de la nouveauté ?
La peur de faire du mal aux autres ?
Oui, tout ça. Le maître mot est la "peur".
Et comment dépasse-t-on la peur ? Par le courage.
Le courage d'assumer ces évidences.
Le courage de se lancer dans ce vers quoi on aspire
Le courage de savoir qu'on se bat pour être heureux et heureuse.
Quand on a compris ça, on sait avancer.
Avec les bâches que je me suis pris ces derniers temps, je crois justement que la meilleure chose à faire est de me recentrer un peu sur moi-même...
Alors je repasse en mode "animal".
Et si tu veux me capturer... Tu vas devoir te bouger. Je ne suis plus aussi facile à avoir. Maintenant, tu sais aussi que tu as toutes tes chances.
Allez, en chasse !
Je crois que je me mets encore plus dans mon boulot pour éviter de trop penser, de trop réfléchir, de trop ressentir.
Depuis que je suis passé directeur, j'ai réussi à développer la capacité à faire 10 choses à la fois (enfin... disons 5, c'est déjà pas si mal).
Ce matin, c'est Hasta Siempre Comandante à fond dans les oreilles... Une version plus rageuse de Interitus Dei. Pas forcément la meilleure -Celle de Nathalie Cardone est juste fabuleuse-, mais j'ai besoin de méchantes grattes ce matin, de me décrasser la tête, de me la nettoyer.
Je reluque joyeusement une Ducati 900 qui s'est arrêtée devant le passage piéton. La silhouette qui monte cette bête est visiblement féminine, svelte. Je ne vois pas son visage à cause de la visière noire, mais de longs cheveux reposent sur le blouson serré Dainese qui souligne ses formes. Un petit mouvement de la tête me laisse à penser qu'elle aussi me regarde dans mon long manteau de cuir noir.
Me verrai bien sur une moto, avec ce manteau (en faisant attention que les pans ne se prennent pas dans les roues !). Faut juste que je passe ce putain de permis. Remarque, vu que mes vacances en République Dominicaine se sont envolées...
Bon, parlons d'autre chose.
Les gens ont parfois des réactions curieuses.
Quand on a faim, on mange. Quand on a soif, on boit. Quand on a envie de pisser... Bon, on arrive à se retenir un peu, mais pas longtemps (surtout pour la gente féminine, n'est-ce-pas ;) !!). Cette dernière citation est pourtant bien intéressante dans un sens figuré. On ressent un besoin impérieux, on sait que c'est la bonne chose à faire, mais on se retient quand même.
Pourquoi quand on a des évidences devant les yeux, on hésite autant, alors ?
La peur de mal faire ?
La peur de l'inconnu ?
La peur de la nouveauté ?
La peur de faire du mal aux autres ?
Oui, tout ça. Le maître mot est la "peur".
Et comment dépasse-t-on la peur ? Par le courage.
Le courage d'assumer ces évidences.
Le courage de se lancer dans ce vers quoi on aspire
Le courage de savoir qu'on se bat pour être heureux et heureuse.
Quand on a compris ça, on sait avancer.
Avec les bâches que je me suis pris ces derniers temps, je crois justement que la meilleure chose à faire est de me recentrer un peu sur moi-même...
Alors je repasse en mode "animal".
Et si tu veux me capturer... Tu vas devoir te bouger. Je ne suis plus aussi facile à avoir. Maintenant, tu sais aussi que tu as toutes tes chances.
Allez, en chasse !
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