jeudi 30 décembre 2010

Douleur. Et voeux.

Douleur.
Voilà un mot qu'on dit facilement.
Et qui peut prendre tout son sens dans certains cas.

Pour 2010, je crois que j'ai eu mon quota, j'ai même du avoir du rabe d'autres personnes qui ne savaient pas quoi en faire...
Sentimentales, et physiques pour finir l'année en... laideur.

Il s'en est passé des choses en 2010. Pour certaines, vraiment merveilleuses et exceptionnelles. Ce sont des diamants dans un marasme boueux et puant global pourtant. Parce que pour le reste, 2010 fut une cuvée bien amère.

Et voilà que 2011 se pointe.
Noël n'a pas eu grande signification, mais ça... vu l'état dans lequel j'étais, pas très important.
Par contre, le réveillon du Nouvel An, cette soirée géniale où tout le monde picole, rigole, est content et se tombe dans les bras, cette année, ce sera en solo pour moi. Pas par choix.
Ouais, un coup classique, une invitation, et la veille on se rend compte que finalement la personne qui vous a invité n'est même pas là.

Bon... Ben c'est pas cool.

Enfin. On va pas se pendre non plus hein ?

Je dis souvent "Se lamenter, se renfermer sur soi ne sert à rien. Vaut mieux avancer."
C'est ce que je vais donc faire. Avancer.
Quand on sait ce qu'on veut, on peut bien tomber quelques fois, on a toujours un projet, un objectif, un point fixe vers lequel on marche. Allez, debout, on continue la route !

Je ne pense pas avoir l'envie de poster ici mes vœux pour le nouvel an demain soir, comme je le faisais généralement.
Je vous souhaite à tous une bonne année, une excellente année. Meilleure que celle qui vient de passer.

Une année où vous prendrez non pas des décisions sages, mais folles, parce que c'est ça qui rend heureux.
Une année où vous libèrerez votre cœur pour courir vers celui, celle, ceux ou celles que vous aimez.
Une année où vous ne vous conformerez pas à ce qu'on vous dit de penser, à ce qu'on vous fait croire au sujet du bonheur et où vous écouterez votre cœur, parce que c'est lui qui a raison.
Une année où vous goûterez à de nouvelles sensations avec délices.
Une année où chaque instant que vous passerez, vous l'apprécierez à plus de mille fois sa valeur, parce que cet instant, il ne se représentera pas.
Une année, nouvelle, pleine, entière, dans laquelle vous retrouverez des gens qui vous sont chers et parfois indispensables, des gens que vous admirez, des gens que vous aimez.

Une année, enfin, où vous vivrez comme vous n'avez jamais vécu, hurlante, fabuleuse, avec des larmes de joie, des orgasmes ravageurs comme des ouragans, des cadeaux qui feront briller vos yeux, des regards où vous aimerez vous noyer avec délices, des respirations lourdes et souriantes, ainsi que de la tendresse, de la douceur, et des sensations comme jamais vous ne pensiez pouvoir en ressentir.

Bonne année à vous.

jeudi 16 décembre 2010

C'est l'heure de partir...

Vis en homme libre.
Meurs en brave.

Au bord de la falaise...

Bon, ben on y est, au bord de la falaise. Ou pas loin. Et va falloir sauter, sans aucun doute.
Je n'ai pas peur. L'appréhension est passée, et de toute façon elle n'apportait rien de bien.
Une pointe d'excitation peut-être, mais très serein dans l'ensemble.
C'est un tournant, un virage, je le sais, je le sens... Ce genre de choses pour lesquelles on a parfois une sensibilité exacerbée et qu'on pressent.
C'est demain.

Je ne veux pas entrer dans les détails, sachez juste que je penserai à vous tous, demain matin, entre 05h00 et 07h30, heure à laquelle j'entrerai au bloc opératoire, dans mon joli pyjama en papier... Nan, je suis d'accord ils sont trop moches.
Je penserai probablement très fort à quelqu'un en particulier, vers 05H30.
Et j'aurai dans ma poche un scarabée égyptien, et dans une autre une pierre plate et rouge...

Je suis prêt.

Si jamais il devait m'arriver quoi que ce soit, que vous n'ayez plus de nouvelles de moi, que je n'écrive plus ici, que je ne réponde plus au téléphone, gardez simplement de moi un souvenir souriant aux yeux bleus.

Parce que de vous j'emmènerai des souvenirs fabuleux de rire, de gentillesse, de tendresse, d'amour et de vie.

Je vous embrasse, du plus profond de mon âme, de mon esprit et de mon cœur.

mardi 14 décembre 2010

Un p'tit billet en passant ?

Ce matin, j'ai encore eu une courte réflexion sur le fait de profiter de la vie.
Je me rends compte à quel point on laisse filer le temps sans penser à rien d'autre que ses préoccupations immédiates. Et s'il n'y avait pas d'après-demain ?

Goûte chaque instant comme si c'était le premier.

Attention, ne vous méprenez pas, je n'ai pas du tout de tendance dépressive ! Je ne l'ai jamais été, je ne compte pas commencer maintenant !
Au contraire, j'ai la patate, j'ai toujours autant d'humour, et on me dit que j'ai un sourire craquant ... Franchement, c'est pas une description de dépressif, ça hein !!
Mais voilà, il est parfois nécessaire de regarder un peu plus haut que ses pieds pour voir où l'on va.

Toi qui me lis, as-tu jamais pensé à ce que serait ta vie si tu avais fait d'autres choix ?
Chaque soir en te couchant, peux-tu honnêtement penser "J'ai vécu cette journée à fond, je n'aurais rien pu faire de plus, je peux me laisser aller en paix dans le sommeil" ?
Te regardes-tu matin et soir dans la glace en te disant de manière parfaitement honnête envers toi-même : "Non, je ne pourrais pas être plus heureux(se) que ça" ?

Le bonheur est un risque et le monde ne veut plus de risque. Il ne désire que la sécurité. -Bernanos.

Je posterai demain matin un billet particulier.
En attendant, je vous envoie plein de douceurs.

vendredi 10 décembre 2010

Et toi, pourquoi tu te bats ?

Cette question, je me la suis posée au moins un milliard de fois sur ces dernières années. Allez, on va dire 3 ans.

Avec toujours la même réponse, à la fois évasive et pourtant si complète.
Je me bats pour ce en quoi ou ceux en qui je crois.

Vous avez peut-être déjà entendu "Non, c'est pas la peine que tu fasses ça, ça ne sert à rien" ou "Ne fais pas ça, tu perds ton temps" et bla bla bla...
La dernière fois que j'ai entendu ça, j'ai compris le vrai sens caché de cette phrase. Je ne peux que citer mon éternel modèle de gentleman gentilhomme et de son immense panache...
Que dites-vous ? ... C'est inutile ? ... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! Non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile

Alors oui, c'est peut-être inutile d'y croire, mais c'est tellement grand...

Pour quelle cause vous êtes-vous battu ces dernières années ? Une vraie cause, qu'elle soit d'ordre personnelle ou de société...
Pour l'Amour de votre vie ? Pour votre propre vie ? Pour repousser vos propres limites ? Pour sauver quelqu'un ? Pour devenir quelqu'un de meilleur ? Pour votre Liberté de penser, d'agir (merci Wikileaks) ?

Je répond un grand oui, à tout.
Et je continuerai à me battre.
Parce que j'y crois. Parce que je sais.

I will never be afraid again,
I will keep fighting till the end
I can walk on water, I can fly
I will keep fighting till I die...

jeudi 2 décembre 2010

Scarabée égyptien...

Il y a déjà quelques années de cela, je m'intéressais beaucoup à l'égyptologie, les pyramides, les légendes, les symboles, la mythologie et les déités.

Savez-vous que l'Egypte avait des siècles d'avance sur les autres civilisations en terme de technique à l'époque des pyramides ? C'est même pire que ça. Il y a un moment assez flou, où on a carrément l'impression qu'il y a un recul dans les connaissances et le savoir de cette civilisation. Comme si un événement soudain avait mis un frein au développement et causé des pertes irrémédiables en terme de savoir, ne laissant que des rudiments avec le peu de moyens que le cerveau humain a pu sauver.
Pourquoi je dis cela ?
Allez, faisons un petit tour dans notre lointaine histoire et géographie. Non pas la scolaire (qui nous a enseigné un putain de paquet de conneries quand même !!) mais dans celle de notre terre.

Il y a... quelques dizaines de milliers d'années (oui, des scientifiques sédimentologues ont prouvé que l'homme n'avait pas plus que quelques dizaines de milliers d'années, donc je préfère ne pas trop m'avancer sur l'âge de notre planète !), les continents étaient réunis en un seul et même territoire, que nous nommons la Pangée.
Suite à un ou plusieurs cataclysme, modification du temps, et certainement plein d'autres facteurs, les plaques tectoniques se sont mis en mouvement, séparant les actuels continents, et stoppant la facilité de migration des populations humaines.
Soit-dit en passant, ne vous êtes-vous jamais étonnés de la ressemblance frappante entre les péruviens et les populations mongoles ? Entre certaines populations africaines et certaines populations amazoniennes ? De la présence troublante de pyramides en Egypte, mais également du côté de l'Amérique du Sud avec les Aztèques et les Mayas ?
A ce moment-là, les mouvements migratoires étaient bien plus importants qu'aujourd'hui puisque dictés par la survie (climatique, alimentaire...) et il est fort probable que ces civilisations soient issues du même "panier" puisqu'on situe le berceau de l'humanité du côté de l'Ethiopie (ce qui n'est pas tout à fait exact selon certaines récentes découvertes, mais ce qui reste sûr, c'est qu'il se situe dans le bassin du Moyen-Orient).

Revenons donc à la séparation de la Pangée qui relie le sujet à notre question originale du déclin soudain des techniques humaines.

Lors des mouvements cataclysmiques des plaques, les continents se sont retrouvés (à quelques centaines de kms près) à leur "place actuelle". Il est (ENFIN !! - Car ce n'était pas le cas il y a une cinquantaine d'années-) communément admis dans les milieux scientifiques qu'il existait un continent supplémentaire, situé entre le continent européen et américain, dans ce fameux "trou" que vous trouverez au niveau de l'atlantique si vous avez la curiosité de vouloir relier mentalement les continents.
Hé oui, l'Atlantide ! Fameuse, légendaire Atlantide.
D'ailleurs, on en trouve des références dans les textes égyptiens anciens. Et pas qu'égyptiens d'ailleurs.
Des écrits en copte ancien, langue morte la plus ancienne "connue" de l'humanité, en font état. Oui, connue entre guillemets, car rares sont ceux qui se sont aventurés à en ré-apprendre les rudiments pour en comprendre le sens.

Si ce domaine vous intéresse, je vous engage fortement à vous renseigner sur l'œuvre monumentale (plus épaisse que celle de Victor Hugo !!) de Fernand CROMBETTE, mathématicien français de génie des années 1930. On lui doit notamment la découverte d'un astre supplémentaire dans notre système solaire, au-delà de Pluton. En 1930, ce bonhomme a démontré mathématiquement qu'il devait exister un tel astre. Il le baptisa "Astre Noir" parce que toujours dans l'ombre. Théorie qui a été corroborée par Hubble, le gros télescope spatial lui-même en 1994 si ma mémoire est bonne ! Il nous a également gratifié de la découverte du sens du disque de Phaestos, le pourquoi des statues de l'île de Pâques et nombre de fabuleux mystères sur lesquels il a projeté une lumière nouvelle et très intéressante.

Petite mise en garde cependant, ces écrits sont toujours fortement surveillés, notamment par les RG (enfin la DRST ou je sais pas comment elle s'appelle depuis l'arrivée au pouvoir du nain de jardin). Ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien, mais toujours est-il que c'est effectivement le cas (je le sais pour avoir été dans ces milieux).
Ce sieur CROMBETTE, a aussi établi des cartes géographiques et montré que les îles Açores sont très certainement un résidu de la chaîne montagneuse qui devait border l'Atlantide lorsque ce continent sombra corps et âme dans l'océan, provoquant la disparition de cette civilisation toute entière, et une montée planétaire des eaux.

Selon les textes traduits par Fernand CROMBETTE, l'engloutissement de l'Atlantide engendra d'inestimables pertes dans les techniques et les mathématiques. D'où ce fameux "coup de frein" dont je parlais ci-dessus.
Mais parlons de l'égypte et de l'une de ses merveilles, et l'un des plus grand mystères de l'humanité également... Ses pyramides !
Les pyramides égyptiennes du site de Gizeh ont été construites sur l'alignement parfait et mathématique des 3 étoiles principales de la constellation d'Orion (et respecte, à l'échelle, l'éloignement de ces étoiles).
Alors, pour être exact, elles l'étaient. Elles ne le sont plus aussi exactement (l'axe de rotation de la Terre ayant très légèrement changé). Mais la communauté scientifique s'accorde sur le fait qu'elles étaient parfaitement dans l'axe 10 500 ans avant JC. Je vous laisse donc imaginer que les plans des pyramides remontent encore à bien plus loin... (J'espère que vous ne pensiez pas que les pyramides dataient de l'époque de Cléopâtre et Jules César, hein !! Faut arrêter les Astérix, sinon ^^).

Je me rends compte qu'on s'est éloigné considérablement du sujet, mais je confesse une certaine passion pour ces choses-là ... Et puis si cela ne vous intéressait pas, vous n'en seriez pas arrivé à ce stade de mon bavardage ! ;)
Revenons donc au sujet de ce billet : les scarabées égyptiens.
On retrouve cette symbolique forte dans plusieurs civilisations : symbolique pré-chrétienne de la résurrection, imagerie chinoise (notamment taoïste), et évidemment, égyptienne.
Rien que le mot "scarabée" en égyptien ("Kheper") signifie "devenir", la transformation, la naissance, la re-naissance. La symbolique de la chance n'est arrivée que bien après.
Mais j'aime bien cette symbolique du devenir et de la renaissance.
On en trouve sous diverses formes, diverses pierres.
En voici par exemple un (que j'aime énormément et que je porte) :



Et un autre, plus petit :




Bon, j'en conviens, j'aurais pu redimensionner les photos. Pas le temps, pas l'envie. Faut que je bosse quand même !! :)

Bref, ces fameux scarabées sont un symbole de force, de persévérance et de permanente renaissance à soi-même, bien avant l'avènement philosophique de Cyrulnik et de sa résilience !!
Je les garde précieusement, puisqu'ils sont un "devenir", c'est un message d'espoir magnifique qui vous rappelle sans arrêt : "Ne baisse pas les bras"...

J'y pense à chaque fois que je le regarde. Et soyez certains que c'est souvent !

lundi 22 novembre 2010

Comme un lundi !

Ca bouge. Et moi, j'aime bien quand ça bouge.
Certaines choses qui restent immuables, et d'autres qui trouvent naturellement une place. Pas besoin de se creuser la tête, ou le cœur en l'occurrence, c'est indéniable.
La semaine passée fut mouvementée. J'attendais une fin de semaine calme. Tu parles, Charles...
Ce week-end n'a pas dérogé à la règle. Beaucoup d'intensité, beaucoup de pensées. Ah ben ça, quand t'as un truc dans le crâne et le cœur...


Pour ce début de semaine, je vais nourrir ma réflexion de mes éternelles sagesses extrême-orientales, issues des civilisations chinoises et japonaises. Et pas n'importe lesquelles, puisque c'est le père de cette profondeur d'esprit, le grand Lao Tseu, pour ces deux premières...
"Les paroles vraies paraissent contraires à la raison"
Mmmmh... J'en connais qui devraient réfléchir à cette simple phrase pendant un bout de temps, histoire d'en prendre la pleine mesure...

"Celui qui sait être constant (persévérant, fidèle) a une âme large, et celui qui a une âme large est juste"
Bon, c'est presque une devise de vie, ça...

Et puis, je suis évidemment retombé -coïncidence ? Ben tiens, mon cul oui !- sur des citations qui me sont maintenant presque familières. Qui me correspondent, m'inspirent, me parlent.
"Si un homme arrête d'espérer, son cœur cesse de battre"
Ben rien à dire là, hein, c'est suffisamment explicite je pense... D'ailleurs en Irlande, il existe un proverbe assez semblable qui dit "L'espoir c'est ce qui meurt en dernier."

"Avec le temps et la patience, la feuille du mûrier devient de la soie."
Et avec la persévérance, on verra même la métamorphose de la chenille...

"Les coeur est le chef des dieux. Ne l'offense pas"
Proverbe japonais pour le coup. Mais vu qu'il m'est aussi tombé sous la main, il faut bien que je le mette. Il est incroyablement juste.
Je pourrais le graver dans le granit à la force de mes ongles tant je le dis et le répète. Mais parfois les personnes sont sourdes ou temporairement malentendantes...

Je rajoute une dernière de mon cru :
"La peur et l'indécision ne permettent que de se noyer dans une vie où l'on n'est pas malheureux.
Le courage, c'est ce qui fait qu'on avance et qui donne d'être plus heureux."

Allez, on ré-attaque la nouvelle semaine. Courage.

mercredi 10 novembre 2010

I'm a french man in London...

Milieu de séjour (voire un peu plus !) à Bracknell, banlieue sud-ouest de Londres...
La bouffe est vraiment pas terrible, c'est le moins qu'on puisse dire. Hormis les petits-déj' qui s'apparentent à de gros repas -et je me régale, moi qui mange assez rarement le matin sauf s'il est très tôt-, a midi c'est un assortiment de sandwichs club et de pain de mie.
Les prix sont prohibitifs niveau alimentaire. Le moindre steak frites dans un restaurant c'est très rapidement £15, ce qui équivaut à une fourchette entre 20 et 25€ !
Mais ça va, c'est pas si mal, mis à part la bouffe. Le temps est clément et il ne pleut pas, c'est déjà ça. Il y a même un peu de soleil de temps en temps.
L'hôtel est chouette. Les chambres sont nickel, très spacieuses, vraiment bien. Et le lit est bon, agréable, j'y dors comme un loir !!!!

Ce qui m'a frappé également est l'architecture. La grande majorité des constructions est en brique. De petites fenêtres hautes et étroites sont disposées sur les facades et s'enchaînent parfois de manière surprenante.
Nous sommes passés par de petites rues très typiques. Avec mon imagination, je n'ai aucun mal à ajouter le brouillard, et voir de sombres silhouettes passer presque silencieusement sur ces trottoirs, le bruit étouffé de leurs pas semblant provenir de partout et nulle part...
Quand on voit Londres, on n'a plus aucune difficulté à appréhender des personnages particuliers qui ont pu marquer notre enfance, notre littérature, comme Sherlock Holmes, les vestes de tweed, les pipes courbes, les hauts-de-forme, ou encore James Bond. Et pour le coup, je le redis encore une fois, il n'y a rien à faire, Sean Connery était sans aucune contestation possible LE meilleur James Bond. Pragmatique, très anglais, avec cette classe très particulière que j'aime beaucoup.
C'est une culture vraiment à part, ils se demandent pardon pour le moindre plus petit truc, et se remercient copieusement sans arrêt. Une politesse intrinsèque, un savoir-vivre qui présente même une certaine rigidité, une attention aux autres de tous les instants...
J'aime beaucoup la culture allemande, c'est clair, mais ce côté "gentleman" qui est présent en permanence, j'adore et j'adhère totalement.

Cependant, certaines choses qu'on a en France me manquent. Pas autant que certaines personnes me manquent, évidemment. Ceci dit, je m'adapte assez facilement à l'endroit où je suis. Mais il fait beaucoup trop froid pour vivre ici, j'aime pas le froid ! ;)
Ou alors beaucoup de soirées devant une cheminée, avec un bon feu de bois, et des effluves de parfums hypnotisants qui se mêlent aux odeurs de bois et de pierre chaude...
Bon allez, faut que j'arrête tout de suite.
Mais j'en rêve. Souvent..

Hop ! Ptite photo-souvenir de la formation in english in ze picture !



lundi 8 novembre 2010

London, Here I come...

Il est 04h49.
Après avoir passé un we plutôt curieux, impossible de dormir hier soir. Et me voilà déjà éveillé depuis 20 minutes...
Ce we, beaucoup d'impressions et de ressentis ont résonné en moi. Je ne sais pas pourquoi ni n'en connaît l'objet ou la portée, mais je veux le consigner par écrit. J'ai senti beaucoup de choses, pensé à des gens, transposé des situations.
A confirmer.

Et voilà cette curieuse semaine qui commence.
4 jours en Angleterre, du côté de Londres. Quartier Bracknell pour être exact. Nan mais matez ça : http://www.grangehotels.com/hotels-london/grange-bracknell-hotel/grange-bracknell-hotel.aspx c'est l'hôtel où je vais.
Une formation sur un nouveau produit dans un centre industriel à une quinzaine de minutes de marche de cet hotel...
4 jours en anglais, la tête farcie. Ca va être funky. J'espère avoir un peu de wifi le soir, parce que, à Bracknell, on est loin de tout, et surtout des quartiers intéressants de Londres...
Ceci dit, avec ma tête, j'ai des chances de passer pour un irlandais ou un écossais.
Moi qui aime le thé, au moins c'est un bon pays pour en boire !

Et puis, je vais vérifier si c'est effectif de dire : "Nan, c'est pas vrai qu'il pleut tout le temps à Londres... Y'a du brouillard parfois aussi..."
Je vous embrasse. A très bientôt...
I kiss ya. See ya soon..
London, here I am !

mercredi 3 novembre 2010

Argh... Bouygtel...

13 ans que je suis fidèle à Bouygues pour la téléphonie.
13 ans que j'ai le même numéro...
13 ans que je renouvelle mes téléphones chez eux, mes forfaits, et en ayant eu parfois de jolis records sur les factures (dont un notamment de plus de 700€ !!!)...
J'ai bossé chez Bouygues Telecom en tant que Webmaster pendant plus de 2 ans...

Et quand je les appelle pour renouveler mon forfait et mon mobile, ils ne comprennent pas que je demande un geste commercial afin de pouvoir prendre l'iPhone4 32Go...
J'ai pas envie d'aller chez SFR (que je hais cordialement) ou chez Orange
(Orange, c'est pas un opérateur, c'est une couleur, point barre.). Et je ne veux pas changer de numéro...

Bon, quelqu'un à mon secours là ?

mardi 2 novembre 2010

Légères modifications

J'avais 2 minutes ce matin, et je me suis dit que j'allais faire un tour dans les nouveautés de Blogger.
Pas grand-chose de vraiment exceptionnel, je ne veux pas surcharger les pages, la sobriété reste de mise.

J'ai donc simplement ajouté 2 petites cases en-dessous des billets "J'aime" et "Je n'aime pas". Je ne savais pas trop quoi mettre, alors si vous avez des suggestions, des requêtes, des exigeances, ce sera avec plaisir ! Dites-le moi simplement, par mail, par commentaire, par msn, par sms, par fax, par pigeon voyageur...

D'autant que, et j'en arrive à la 2è petite modif, je réactive les commentaires. Hé oui !

Suite à l'attaque de mon blog il y a quelques mois (certaines personnes n'avaient pas apprécié mes billets sur les religions), je les avais désactivés.
Je les remets donc en fonction.
Vous trouverez le lien pour poster vos commentaires en-dessous du titre. C'est le / COMMENTS : (#) avec à la place du # le nombre de commentaires publiés.
Il vous suffit de cliquer sur le chiffre pour commencer à tapoter et me laisser votre commentaire !
Ils seront dans un premier temps modérés, c'est-à-dire que je les recevrai, et si tout va bien (et qu'il n'y a pas soudainement de grosse attaque), je les publierai d'ici quelque temps...

dimanche 31 octobre 2010

Trois ans jour pour jour, heure pour heure...

Aujourd'hui, à cette heure précise d'ailleurs, je quittais il y a 3 ans un boulot et surtout des gens qui m'étaient chers...
Anniversaire de souvenirs, de rires, de sourires, de moues, de regards, de discussions, d'intensité, de moment forts...
3 ans déjà...
Une nostalgie certaine, un manque certain, une tendresse certaine...

Ah oui, sinon aujoud'hui, c'est Halloween et son cortège de traditions américaines... Célébration de rites païens ! Ma foi je trouve cela amusant et même intéressant par certains côtés.
Ce jour amène une certaine ambiance, une certaine magie qui n'est pas sans rappeler les sombres mystères que l'homme a pu oublier et les croyances qu'il a eu étant enfant...
Autant j'étais contre quand cette tradition est arrivée, innondant le marché de produits de consommation, autant je trouve aujourd'hui qu'elle s'est adaptée et reprend un peu des airs de mystères délicieux...

Ah oui, j'ai failli oublier ... J'ai effleuré il y a peu un livre de Tony Bentley (ex-danseuse étoile new-yorkaise).
Je ne vous en livre qu'une seule citation, celle qui s'est glissée immédiatement en moi comme on se coule sous la couette chaude en hiver avec un sourire de béatitude :
"Le désir, l'amour, est sensuel, une manifestation du libre choix; l'attachement, l'habitude, au contraire, est l'ennemi du libre choix"

C'est ma réflexion de ce long week-end...

mercredi 27 octobre 2010

Pensées du jour...

Une première forte et intense pensée du jour : une sagesse chinoise, évidemment, qui m'est tombée dans l'escarcelle ce matin même, lors de ma (presque) quotidienne lecture de cette source infinie de réflexion...
"Quand les loups sont nombreux à hurler, la meute n'est guère loin".
J'ai mis quelques instants à comprendre toute sa portée, mais cela pourrait être résumé ainsi :
Si dans une situation, vous pensez (ressentez) que quelquechose est là, ce n'est pas une coïncidence. Ou, plus clairement, quand il y a un doute, c'est qu'il n'y a plus de doute.

La seconde sagesse qui m'a frappé est la suivante :
"La rivière connaît son lit. Mais c'est quand vient le temps des crues qu'elle découvre sa vraie nature."
Whouaou, elle est pour moi celle-là. C'est quand la rivière sort de son chemin qu'elle s'épanouit...

Me bluffera toujours, la précision avec laquelle ces citations s'appliquent parfois à mon expérience...

Allez, la petite troisième qui m'a mis une claque:
"Si tu arrêtes d'espérer, ton cœur cesse de battre"
Ok, bon, j'avoue, celle-là m'a décroché les molaires. Avec grand plaisir d'ailleurs.


Allez, pour le souvenir, une petite photo qui respire le grand air pur et le soleil :


"Quand les loups sont nombreux à hurler, la meute n'est guère loin".
Je n'ai pas de doutes... Au lieu de maudire l'obscurité, j'ai allumé une bougie :)

vendredi 22 octobre 2010

Fin de semaine volcanique...

J'avais oublié combien c'était bon, la fureur de l'état sauvage.
D'où mon changement (temporaire) de photo...

Alors oui, elle fait peur, on n'aime pas, elle est horrible, tout ce que vous voulez...
Mais putain que c'est bon...

2 projets sur les 6 que je mène de front sont terminés ce soir, la semaine prochaine va déjà être plus cool...
J'arrive en fin de semaine sur les genoux, le dos qui me tiraille de partout, des fourmis dans les jambes, des courbatures dans la nuque... Heureusement que je sais me masser, ça tempère les douleurs et me soulage un peu...

Allez, un bon we qui se pointe... enfin je l'espère ! On verra bien.
Un peu de guitare (tiens, faut que je bosse Hasta Siempre, Thunderstruck et quelques autres trucs), un peu de cuisine, un peu d'alcool, beaucoup de rire, un cinoche ?, un peu d'air pur, un peu d'aventure, un peu de kung-fu, enfin on verra tout ça...