lundi 21 mai 2012

De Suspension Ephémère ...

... Ce point devient final.

Ca y est.
C'est une jolie fin en quelque sorte.
Certains romans doivent rester inachevés, celui-ci sera un happy end !

Alors ce dernier billet est en forme d'adieux.
Pas d'adieux tristes, hein ! Des adieux joyeux, pleins d'espoir.

Je commencerai donc par mes Cigales du Sud, mes montpellierain(e)s et bitterois(es) :)
Merci de m'avoir suivi aussi régulièrement. Curieux hasard que vous ayiez recroisé ma route après tant de temps et de distance !
Qui sait ? Nos chemins se recroiseront un jour peut-être à nouveau. Je le souhaite :)
Ma foi, pensez à moi à l'occasion quand vous vous gaverez de Churros sur la plage ! Je sais que Mumu aimait ça ;)
Gros bisous à vous deux ! Et toutes mes amitiés à Lucas.

A mon ami Gab, compagnon d'écriture et de route depuis longtemps, merci pour tous les sujets de réflexion que tu as soulevé en moi et qui ont, pour beaucoup, atterri sur ces pages. Merci pour nos débats sans fin sur des sujets futiles ou absolus...
Désolé que ces derniers mois furent sans qu'on puisse se croiser...

A Sandrine, pour ton regard frais sur ce que j'écrivais, et nos discussions interminables. :)

A toi Celenn. Ce livre qui se referme est empreint de pages à ton nom. Merci pour ce que tu as été, pour Gotten, pour Morcheeba. Et même si je sais qu'un jour tu t'es trompée dans ton choix, j'espère que tu n'en souffriras plus, que tu resteras avec des étoiles dans les yeux, que tu resteras insoumise et heureuse ! :)
Merci pour ta confiance aussi, et j'ai enfin la réponse à ta question : ceci doit être ma 9ème vie en fait ;)
Embrasse pour moi notre blonde si tu la croises, je ne pense pas la revoir un jour. J'espère qu'elle va bien elle aussi.

A ma chère Manue, prends soin de tes ptits gars, et pose-toi enfin !! Tu l'as bien mérité !

A Bart, mon ami et mon frère, dernier Roi d'Ecosse, solide comme un roc et immense homme de cœur. Merci de tes lectures, de nos concerts, de tout cet univers qu'on a rempli ensemble et qui a aussi alimenté beaucoup de ces billets.
Hail to my King. Et bénis soient les McLeod.

"Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n'est pas la vôtre"

Je vais vers une nouvelle existence, qui est mienne, le cœur plus léger, le sourire aux lèvres.
C'est pourquoi je clos ce bout de toile.
Je vous embrasse tous et toutes.

Et je ne pourrais pas décemment finir sans donner le verbe à l'immense Cyrano :

Oui, vous m'arrachez tout, le laurier et la rose !
Arrachez ! Il y a malgré vous quelque chose
Que j'emporte, et ce soir, quand j'entrerai chez Dieu,
Mon salut balaiera largement le seuil bleu,
Quelque chose que sans un pli, sans une tache,
J'emporte malgré vous,
[Il s'élance l'épée haute.]
et c'est...
[L'épée s'échappe de ses mains...]


ROXANE, [se penchant sur lui et lui baisant le front]
C'est ?...

CYRANO, [rouvre les yeux, la reconnaît et dit en souriant]
Mon panache.

















mercredi 16 mai 2012

Fontaine, je ne ...

Non j'arrête là ;)

Parce que c'est une référence non seulement intéressante mais en plus documentée et sourcée par de vrais médecins, voilà un article à lire sur la sexualité féminine et certains de ses secrets...

http://www.psychologies.com/Couple/Sexualite/Plaisir/Articles-et-Dossiers/Sommes-nous-toutes-des-femmes-fontaines

mercredi 9 mai 2012

"Fils de satan !"

Certains de mes amis me surnomment "fils de satan". A cause de la musique que j'écoute (oui, j'aime le metal mélodique...), et soi-disant que j'aurais un penchant pour la crucifixion de chatons des nuits de pleine lune, ce genre de choses...
Ce sûr quoi j'ai quand même réfléchi 2 minutes.
Et finalement ça ne me dérange pas du tout...

Dans les faits, le diable donna aux hommes le sens critique et la pensée par soi-même, chose que Dieu ne voulait pas.
Dieu a refusé que l'homme mange du fruit de l'Arbre de la Connaissance ( ou quoique ce fût), nous empêchant ainsi toute liberté de pensée, esclaves pour l'éternité.
Le "démon", lui, nous a fait la faveur, au cours d'une simple conversation, plus une pomme, de changer cela.

Il comprend la nature humaine, mais ne te juge pas d'être humain.

Il ne se pose pas la question, il accepte les enfants que Dieu rejette sans condition...

Dans toute la bible, le diable tue une dizaine de personne. Tout au plus.
Pendant que Dieu, lui, tue plusieurs millions de personnes, au bas mot.

Et c'est lui le "mal" ...

SERIOUSLY ?!


dimanche 6 mai 2012

Mais de quel droit ?

"De quel droit tu te permets de critiquer [sur tel sujet ou choix] ?", "Comment oses-tu parler ainsi de..." sont des remarques que j'ai souvent eu sur ce blog.
Alors je vais y répondre.

C'est le privilège d'être le maître de sa prose, d'être la poche de venin en plus du dard, d'être l'accusateur, le juge, le bourreau, le fossoyeur et l'exorciste, d'être la pointe de l'épée autant que le vers en alexandrin de ce cher Cyrano, et de toujours conserver ses mots aussi aiguisés que les lames qui jaillissent des poings de Wolverine...


samedi 5 mai 2012

Friday Night Fever !!

Personne n'a encore résolu l'énigme de mon dernier billet !! Ou trop frileux pour poster sa réponse ?

Bref, ce n'est pas le sujet de ce post-ci !
Nous sommes vendredi soir... Enfin, samedi matin, pour être vraiment très exact, au vu de l'heure.

Sortie de boîte. Première fois depuis ... Ouh !!... un paquet de temps...
Rien ne change finalement. Toujours les mêmes boulets bourrés en chasse aussi fins que des crétins congénitaux croisés avec des primates décérébrés qu'on dirait des supporters du PSG ou de l'OM. Toujours les mêmes nanas avec le string défraîchi qui ont l'air épuisées tant elles ont de kilomètres au compteur et la mâchoire distendue.

Envie de tuer les uns pour réduire le taux de testostéconnerie, et de secouer les autres pour leur dire que si elles veulent mouiller dans leur culotte plus que 10 minutes dans des chiottes glauques à la Audiard, faut qu'elles se rendent compte que c'est pas le bon endroit. En plus, ça colle.

Non, décidément, les boîtes, c'est pas mon truc...

jeudi 26 avril 2012

Qui suis-je ?

Petite énigme du matin :

Je suis le feu et le brasier ardent, je suis l'eau et l'océan impétueux.
On se perd en moi comme on s'y retrouve.
Mes ailes sont protectrices et libératrices.

Qui suis-je ?

lundi 23 avril 2012

Tout va bien !

A défaut de tigresse, j'ai bouffé du lion, tout au moins dans ma vie professionnelle.
Je sors des notes de cadrage de projet comme s'il en pleuvait, j'identifie les collatéraux et les risques, je planifie, bref, je fais de la gestion de projet à tour de bras.

Ma vie amoureuse est peut-être complètement absente, au moins la partie professionnelle fait des étincelles !

Aujourd'hui, évidemment, grand sujet de discussion : les élections.
Sérieusement ? Hollande vs Sarkozy ? On a le choix entre le petit con aigri "la France aux riches", et le grand mou du genou qui n'a rien dans le slip ?
Je pourrais bouffer un bol de soupe avec des lettres de l'alphabet que je chierais encore un meilleur argumentaire que ces deux-là réunis...
Bon, je clos tout de suite ce chapitre "Histoire de la France pathétique".

Tiens, je viens de retrouver sur mon disque un artwork que j'aimais bien... D'ailleurs je le trouve toujours aussi bon, ça te parle ?



Ouais, c'est m... lui... ;)

mardi 17 avril 2012

Décla(r/m)ation ...


Sans toi je me sens aussi seul qu’un chien abandonné au milieu de la route...
J’aurais envie de t’offrir des cadeaux même si je ne connaissais pas la date de ton anniversaire.
Je veux qu’on passe des moments fantastiques, shopping et cuisine la main dans la main.
Je te jure que je ne me moquerai jamais de toi quand tu râperas les pneus contre le trottoir en faisant un créneau.
Si tu veux bien vivre avec moi, je nettoierai les toilettes chaque semaines, avec ma langue si tu me le demandes.
Je ferai disparaître les mots roploplos et gros nibards de mon vocabulaire.
Je serai amoureux fou même si tu t’appellais « Mimi » et que tu voulais que je le prononce « Maïemaïe ».
Je laisserai filer un pet que sous les couvertures et seulement dans des circonstances désespérées.
Je ferai un régime pauvre en cholestérol et je n’achèterai pas de voiture de sport rouge quand je ferai ma crise de la cinquantaine.
Tes parents pourront venir nous voir chaque semaine même si ta mère était une enquiquineuse de première...
Tu sais tes parents ne partiront jamais en maison de retraite parce qu’ils viendront vivre avec nous.
Je déclare solennellement que je séparerai le blanc de la couleur, je percerai le mystère du lavage à 30 ou 40°C.
Je ne râlerai jamais en attendant que tu ais fini de te maquiller.
Si c’est les chats que tu préfères, je ne te rappellerai jamais qu’un chien peut te sauver la vie si tu te noies mais qu’un chat ne peut pas...
Je serai ravi de regarder des films de filles avec toi comme « Orgueils et Préjugés ».
Je serai partant pour goûter des nouilles au tofu, des crabes au gombo.
Je ne ferai pas la moue devant l’horrible goût des légumes qui est masqué par du fromage fondu.
Je m’engage à toujours répondre « oui » quand tu diras « Est-ce que mes cheveux sont bien coiffés comme ça ? ».
J’inventerai pour toi un tout nouveau sens du mot câlin.
Je serai assez attentionné pour te lire ton horoscope tous les matins.
Je conserverai précieusement toutes les cartes d’anniversaire.
Je t’écrirai de vraies lettres quand on sera séparé.
Je te demanderai jamais où sont mes clés de voiture et je ne laisserai jamais mes chaussettes traîner par terre.
Avec moi tu trouveras toujours le tube de dentifrice bouché.
Je m’achèterai des strings et je les porterai pour toi si tu aimes ça.
Mon nombril sera toujours vierge de toute boulette de tissu...

Je veux promener ma langue sur ton clitoris, ce sera l’expérience la plus passionnée, la plus torride et la plus intime que tu aies jamais pu avoir...

Je te le dis, je donnerai toute ma vie pour toi, et si tu ne me réponds pas, je suis sûr qu’il y a une partie de moi qui mourra ce soir...

mardi 10 avril 2012

vendredi 6 avril 2012

Passage impromptu

Plein de petites et grandes choses en vrac.
Finalement, je ne partirai pas de Paris, pas tout de suite. Moi qui avait déjà commencé à dire au-revoir à certains de mes amis !
En effet, je signe cette après-midi un contrat pour la BNP en tant que chef de projet. Il s'agit d'un déploiement visio à l'échelle mondiale, donc... Ouais, ça va prendre un peu de temps.
J'en ai au moins pour 2 ou 3 ans.

Tout autre sujet, ma curiosité m'a poussé à me demandé qui pouvait bien venir visiter ce blog depuis Stockholm, en Suède, aussi régulièrement... Un petit message (mail/commentaire/n'importe) ?

Mon auto-formation de morpho-psychologie commence à porter ses fruits. Je m'en sers en entretien, et dans ma vie. C'est vraiment passionnant pour moi, même si c'est loin d'être une science exacte. Déjà que la psychologie est loin d'être exacte...
Mais ça plus un peu de cerveau, plus un peu d'observation, plus un peu de ressenti... Et on commence à voir des choses particulièrement intéressantes...

L'appartement est vendu, ça y est. Déménagement obligatoire avant le 17 juin.

Voilà, beaucoup de choses bougent quand on prend son courage à 2 mains, hein...

(Les commentaires sont toujours ouverts -lien juste en-dessous du titre du billet- et restent confidentiels et soumis à mon approbation avant leur publication. Je le précise parce que Manu m'a demandé, je suppose du coup que ce n'était pas très clair...)

lundi 2 avril 2012

"Fiction" 5 - Mais ... comment ?...

Il saisit sa pinte et la porta à ses lèvres.

Elle le toisa du regard un moment pendant qu'il aspirait sa bière à petites gorgées, puis lui demanda :
"Et alors, que deviens-tu ?"
Le silence se fit pendant que sa main reposait doucement son verre sur la table.
Un léger sourire remontait le coin de sa bouche. Il la sondait. Il prit son temps avant de répondre :
"Je vais bien. J'ai un boulot qui me bouffe, une vie occupée, mais je vais bien. C'est drôle, il y a longtemps qu'on n'a pas eu un dialogue...
- Je sais..." répondit-elle avec une moue. "Tu m'en veux ?
- Bien sûr que je t'en veux. Tu pensais quoi ? Que ça passerait, juste comme ça ?
- Je suis désolée.
- Tu peux l'être."
Son ton dur contrastait avec le sourire qui ne s'effaçait pas.
"Et toi, tu as te fais chier avec tes contrats photovoltaïques ?" reprit-il
- Comment... Tu...
- Je le sais, c'est tout.
- En même temps je n'ai pas le choix.
- Tu devrais ré-écouter Morcheeba, Fear and Love.
- Je la connais presque par coeur
- Je sais... Mais pas assez pour comprendre les paroles. We always have a choice. Nous avons toujours le choix. Toujours."
Il prit une gorgée de bière et reposa le verre.
"C'est un message ?
- A toi de voir. Ca te parle ?
- Je ne veux pas répondre à ça
- Je vois. Encore à essayer d'éluder les questions ?
- Je n'ai rien à éluder."
Ses yeux devinrent plus rouge et elle les baissa.
"Quand tu mens, quand tu penses quelquechose, quand tu te sens mal, ou que tu te sens bien, je le sais.
- Ah ouais ? Et là je suis comment alors, puisque tu sais tout et que t'es si fort ?"
Il prit le temps de reprendre une gorgée, en plongeant ses yeux dans les siens avec ce même petit sourire.
"Tu es à fleur de peau, et c'est ta mauvaise semaine.
- Mais... Comment ?
- Comme ça. La vraie question est : comment peux-tu encore douter ? C'est surtout ça la question."





jeudi 29 mars 2012

Poète du soir

Je lisais un peu de poésie anglaise du siècle dernier, un poète que je commence vraiment à beaucoup aimer, Dylan Thomas.
Gallois d'origine, on sent le sang celte qui coule dans ses veines.
Bref, l'un de ses poèmes, s'intitule And Death Shall Have No Dominion. Une vraie perle, un petit bijou, une merveille ciselée dans les mots et la pensée.
Une phrase de ce poème m'a tapé dans l'oeil :
"Though lovers be lost love shall not;"
Ce qui peut se traduire par : "Même si les amants se perdent, l'amour demeure."
Alors, hmm ? ;)
Ouais, moi aussi je me suis dis ça :)

Franchement, qui, aujourd'hui, te fait encore partager de petites merveilles comme celles-là ? ;)

mercredi 28 mars 2012

... et curieuse nuit.

Deuxième billet en 24h. Faut croire que mes neurones ne sont pas si rouillées que ça...

Après une longue journée, je me suis accordé quelques moments de répit, face au soleil couchant.
Une idée en entraînant une autre, je suis parti dans une série de réflexions, agrémentées de calculs dont je vous épargnerai la chiantise extrême. Après plusieurs heures (oui, je ne suis pas terrible en maths, et j'ai du refaire un paquet de fois ces saloperies d'équations et de multiplications en chaîne pour arriver à les dimensionner correctement), je suis parvenu à un résultat satisfaisant.
Maintenant que je vous ai mis un peu l'eau à la bouche, passons au vif du sujet...


Le monde se bat comme des cons pour lutter contre le réchauffement de la planète, de manière totalement inutile, sachant qu'il y a une certaine inertie des modifications climatiques et qu'on est allé bien trop loin.
Mais j'ai une solution.
Je considère dans mon calcul que, pour une fois, l'humanité soit capable de s'entendre au lieu de se taper sur la gueule pour des conneries de religion, de pétrole ou de conflits d'intérêts. On parle de notre survie, là.

Voici donc ce qu'un calcul suffisamment minimaliste peut donner:
Il nous faut 191 ogives nucléaires de 10 mégatonnes chacune, réparties tout autour du globe, se déclenchant à 60 secondes les unes des autres à un peu plus de 550kms de la surface de la planète.
Les avantages sont multiples.
Le principal intérêt réside dans le fait que vu que les ogives exploseraient à cette altitude, les retombées se retrouveraient piégées dans l'ionosphère, où elles seraient donc inoffensives.
L'autre énorme avantage est que ces explosions plongeraient la Terre dans une sorte d'"hiver nucléaire" pendant environ 1 siècle, permettant par là même aux calottes glaciaires de se reconstituer. La couche d'ozone ne serait même pas effleurée.
Pas de radiation nocive sur la planète.
Concernant la vie sur Terre, la température serait simplement abaissée de quelques degrés, et la lumière du soleil, quoique bien atténuée, n'empêcherait pas la vie.

Fin du calcul et du cours de sciences.

mardi 27 mars 2012

Curieux jour...

Il fait beau, l'envie de manger au soleil, en terrasse ou dans un parc.
Je me suis préparé un sandwich, et je suis allé le faire. Mais ce n'est pas la même chose.
C'est même assez chiant quand on est seul. Du coup, je repense à mes anciens collègues, Nono, notamment.
Il est très tranchant avec moi parfois...

Depuis ce matin, une voix dans la tête me chante l'Aigle Noir :)

mardi 13 mars 2012

"Fiction" 4 - Parabole.

Un homme vivait dans une maison.
Dans une pièce de celle-ci habitait la femme qu'il aimait en secret.

Mais il advint qu'elle partit pour aller ailleurs.

Il remplit alors cette pièce de chaque passion qu'il pouvait trouver, pour ne pas la laisser vide.
La cuisine, la musique, la sculpture, la photo, l'écriture, la gravure, la peinture...

Les années passèrent.
Un jour qu'il commençait à dessiner les traits de celle qu'il aimait toujours, il se rendit compte que cette pièce était hantée.
Par elle. Par son esprit, son âme et sa présence.

Il y réfléchit longtemps.

Quelques temps plus tard, la maison en vente reçut ses nouveaux habitants.
Au dos de la porte de la pièce, ils trouvèrent un message manuscrit qui portait ces mots :

"Vous venez d'arriver dans cette maison. Prenez-en grand soin. Elle est douce et accueillante.
J'ai longtemps cru que cette pièce-ci était hantée par le fantôme de la femme que j'aimais.
Mais je me suis rendu compte que c'était mon fantôme qui errait dans toute cette maison.
Mon esprit ne pouvait reposer en paix ici.

Soyez donc tranquilles et heureux.
Je suis parti hanter d'autres lieux."

lundi 12 mars 2012

Le temps des changements.

Il est des décisions qui sont difficiles à prendre, des pages compliquées à tourner. Parfois impossibles.
Il vient un temps pour moi de grands changements.

Vous savez, comme on sent parfois l'orage arriver, le vent qui tourne, la densité de l'air qui se modifie...

Il ne s'agit plus là de tourner une page, justement. Ni même de clore un chapître.
Il s'agit de refermer un livre.

Quand le monde s'arrête et qu'il devient immobile, pris dans une gangue, quand le monde ne change plus, c'est à toi de changer le monde.

jeudi 1 mars 2012

Pensée du jour.

"Ceux qui sont assez fous pour penser qu'ils peuvent changer le monde, sont ceux qui le font" -Steve Jobs

Applicable à tout domaine... (regard appuyé...)

Intermède nocturne dans mon sommeil.

Si tu aimes vraiment quelqu'un, tu dois avoir envie qu'il/elle soit heureuse. Tu dois vouloir son bonheur.
Même si tu finis en étant mis de côté.

Ce n'est pas un échec.
Enfin... Si, c'en est un, en soi. Totalement.

Mais si tu prends un peu de recul, c'est parfois la seule chose que tu puisses faire pour montrer à cette personne combien tu l'aimes.

Il est 02h27 à mon horloge.
Le réveil fut violent.
Je vais vite essayer de rattraper Morphée avant qu'il ne quitte les alentours pour le reste de la nuit...




mercredi 29 février 2012

Week-end loin de Paris... et début de semaine

J'avais besoin de respirer de toute façon.
L'anniversaire de la copine d'un ami, un coup de fil, 2 billets de train et me voilà en route pour les montagnes près de Grenoble.
Evidemment, j'y vais en connaissance de cause, je serai le plus âgé.

J'arrive avec mon ami à la fête, on prépare, on met en place, on organise, bref on gère, à tous les niveaux, on maîtrise les choses. Ca va être une grosse teuf, on le sent.
Les hommes sont majoritairement en costar, les femmes en robes de soirée classes ou excentriques.
Des loups noirs (masques) sont disponibles pour les hommes, colorés et de formes diverses pour les femmes.
Les invité(e)s arrivent.
Vers 22h, tout le monde est là, presque 40 personnes, le son est à fond (que du bon rock qui tape), ça danse, ça bouffe, ça boit, ça rit, ça embrasse en glissant des mains balladeuses...
J'observe ça avec un demi-sourire depuis derrière le bar, jouant des bouteilles, remplissant des verres, repérant qui sera bourré(e) avant minuit.

Et quand on est derrière le bar, y'a un truc qui est constant. Tout le monde vous parle. En articulant plus ou moins, selon la quantité de sang qui reste dans l'alcool circulant dans les veines...
Parfois, des femmes viennent s'accrocher au bar. Pour boire ou... pour draguer...
Une timide tout d'abord, cheveux longs, légèrement ondulés, noirs. Un regard perçant. Elle demande un verre, change 3 fois sa commande, bafouille, rougit un peu.
Incapable de se reprendre, elle prend son verre et s'enfuit. Je vois du coin de l’œil qu'elle alpague mon ami. Il regarde dans ma direction avec un sourire et hoche la tête en lui disant je ne sais quoi ...

Et là, se pointe une petite, blonde, cheveux long et lisses, yeux bleus, un sourire énorme. Elle se colle au bar, me demande ce que moi je bois et me demande la même chose.
Vu que je n'ai pas encore bu un seul verre de la soirée -il est 22h30 passées- je m'accorde un Dark Coke (un cocktail que j'ai inventé pour la soirée et qui a un franc succès, vu la vitesse à laquelle les bouteilles filent) et lui en sert un.
Elle est directe, et ne cherche pas du tout à tourner autour du pot. Elle me fait rire, ça me plaît bien.
Une de ses copines la rejoint et la conversation tombe sur les roux.
Elles attaquent sec sur "Les roux sont vraiment différents".
Je réponds que c'est normal, les roux sont des volcans.
Et là, ça commence à raconter ses histoires de mecs roux... Du bonheur.
A un moment, sa copine s'éloigne. La blonde plonge ses yeux dans les miens et dit "La dernière fois que j'ai rencontré un roux, j'en ai eu la culotte trempée".
Plus explicite que ça, je ne vois pas ce que ça pourrait être. Si, me lancer son string.
Je lui répond : "J'espère que tu as trouvé quelqu'un pour l'éponger" en léchant ma lèvre supérieure.
Là, je la sens s'enflammer sur place, se transformer en bombe hormonale. Le bassin qui bouge, le dandinement d'une fesse sur l'autre, les jambes qui se croisent et se décroisent, les pupilles dilatées, les doigts qui se frottent dans les mains, tous les symptômes sont là.
C'est tentant.
C'est vrai, elle est très jolie du haut de ses 25 ans et elle n'a qu'une envie, c'est de me sauter dessus.

J'ai tranché la situation. "Tu es mignonne et je suis certain que ce serait génial. Je suis désolé. Je ne peux que t'offrir un verre si tu veux ..."
Je vois sa respiration lourde qui se bloque.
Elle me rend mon sourire quand même.

Telle est ma volonté.


Le lendemain, journée ensoleillée, pas de mal au crâne (l'avantage de ne pas boire trop !), et des montagnes magnifiques.
L'air est frais, il pénètre dans les poumons comme des milliers d'aiguilles.

On fait un tour, on discute, je joue un peu les conseillers, rétablis quelques vérités, sonde les regards et les paroles.
Une journée très agréable.
Le soir, un restau sur le pouce vite fait, et me voilà dans le TGV pour Paris.
Je repasse dans ma tête toutes ces heures. J'ai le loup dans ma poche.

Cette semaine, je vais cartonner, lundi entretien 16h00, mardi, 17h30.
Je sens que j'ai retrouvé cette patate qui me manquait.

Et ce fut le cas.
Lundi : je suis arrivé à l'entretien, j'ai pris le commercial en main, j'ai dirigé l'entretien comme ça me convenait, et c'est moi qui ai fini par lui demander : "Vous avez encore des questions ?"
Mardi : l'entretien dans un très gros cabinet de recrutement se fait avec une femme que j'avais déjà eue au téléphone il y a quelques mois. Fort mignonne au demeurant. Et c'est drôle, parce que j'analyse ce qu'elle me dit et les traits de son visage au fil de l'entretien. Je repère les sujets qu'elle évite, et ce qui l'intéresse. L'entretien encore est un succès et elle est enthousiasmée.

Les choses vont bouger dans les 2 semaines qui viennent. Je le sens...

Et pour couronner le tout, j'ai dormi 10 heures cette nuit !!! ( Ca change de la semaine dernière où j'ai dormi 5 heures sur 4 jours, et des nuits à 3 heures de sommeil alternant avec les nuits blanches enchaînées... )

Bref, mode tigre sauvage engagé.
Ca va saigner :)

mardi 21 février 2012

Pensée du jour

Oui, encore une citation.
Et encore une citation où vous vous direz : "Ouais... Carrément vrai..."
Je le sais, j'ai eue la même réaction...

"Pour échapper à la souffrance, le plus souvent on se réfugie dans l'avenir. Sur la piste du temps, on imagine une ligne au-delà de laquelle la souffrance présente cessera d'exister." -Milan KUNDERA

On se dit "Bah ! Dans 1 an je n'y penserai plus."
Et 1, 2, 3 ans plus tard, on y pense toujours...

mardi 14 février 2012

Saint Roul'patin.

Je ne vais pas m'étendre cette année sur la Saint Valentin.
Tout ceux qui parcourent régulièrement mon blog connaissent mon opinion envers cette pseudo fête.
Est-ce un signe de bonne santé que de refuser de s'intégrer dans une société profondément malade ? Bonne question hein...

Quand on connait celle qui rit à voir les paillettes sur la tronche que vous vous récupérez à la toucher, et qu'elle, de son côté aime à se noyer dans vos yeux, y'a-t-il vraiment besoin d'une Saint Ultramondain ?

Une pensée pour toutes les virginités qui vont s'envoler aujourd'hui (ben oui, c'est la Saint Popotin et la Saint Gourdin, quoi !)... Même si déconseiller les rapports avant le mariage est contre ma religion.

Je vais cuisiner aujourd'hui, tiens. Ca me changera de ma bouffe habituelle.
C'est drôle, les mecs pensent que ce n'est pas viril pour un homme de savoir cuisiner.
Tant mieux ! Qu'ils croient ça !
De ce qu'on m'a dit, d'une part je suis pas mauvais dans cette discipline, et d'autre part, je me tape totalement de l'avis de ces "pseudo-mecs".

D'ailleurs, une femme m'a dit un jour qu'elle trouvait ça plutôt sexy, au contraire.
Et à l'inverse de tous ces sacs hypocrites testostéronés d'un égo pseudo-masculin, aussi mous du bulbe qu'incapables d'élaborer une recette originale, je la crois, elle.

Bon, je m'arrête là. J'ai encore un peu de travail, et il est déjà presque 3h40...
Les commentaires sont ouverts, envoyez les missiles !

Allez, bonne Saint Baratin à tous ! :)

PS : Ah si. C'est l'anniversaire d'une rose aujourd'hui. Une rose blanche... Parfois, j'aimerais savoir...

mardi 24 janvier 2012

1 minute pour un peu de bonheur...

Voici la démonstration de la puissance du cœur sur la matière.

Faisons un exercice.

Attention, si vous faites cet exercice, faites-le correctement, sinon il ne mènera à rien.
Donc soyez dans de bonnes conditions pour cela. 
L'exercice dure moins d'1 minute.
Si vous êtes au travail,  décrochez votre téléphone pour 1 minute, et relaxez-vous quelques secondes avant de commencer.
Si vous êtes chez vous, prenez une position agréable et détendue.
Vous êtes prêt(e)s ? On y va.

Mettez un compte à rebours sur votre téléphone ou un minuteur de cuisine, ce que vous voulez, pendant 47 secondes. Ou 50s si votre machin est trop vieux pour faire à la seconde près. Bien.

Maintenant quand vous lirez le "top" ci-dessous, vous le lancerez, et continuerez la lecture.

TOP
Inspirez profondément et expirez doucement par la bouche.
Prenez une nouvelle inspiration profonde.
Prononcez à voix basse le prénom de quelqu'un que vous aimez ou qui vous est cher (qui vous manque ?). Vous devez entendre votre voix prononcer ce prénom dans un souffle.
Refaites cela 3 fois en souriant de plaisir.
Gardez en mémoire le son de votre voix disant ce prénom.
Visualisez les images des meilleurs moments et situations pendant tout le temps qu'il reste.
Ressentez-les.
Laissez-vous pénétrer par l'intensité de cet instant. Continuez les yeux fermés jusqu'à la fin du temps imparti.

Lorsque le compte à rebours est fini, prenez encore 3 à 4 secondes pour ressentir les sensations délicieuses que cela provoque en vous.

Si vous voulez, vous pouvez même faire durer cela en évoquant des images non réalisées ou purement imaginaires avec cette personne.

Lorsque vous ouvrez les yeux ce ressenti reste présent au creux de
votre ventre, autour de votre cœur et laisse une douce chaleur tout
autour de votre corps et en vous.

Voilà, l'exercice est fini.

Si vous l'avez fait correctement, cela a, au minimum, éclairé votre journée d'un peu de douceur et de sourire, sinon donné une agréable perspective et de nouvelles idées, voire redonné l'envie de vous bouger pour aller vers cette personne.

Ce qui est bien avec cet exercice c'est que vous pouvez le faire n'importe quand, à tout moment, dans une réunion chiante ou dans un moyen de transport, chez vous ou le soir avant de dormir.

Laissez-moi des commentaires en haut de la page, ils seront privés de toute façon ! ( ou publiés uniquement si vous le souhaitez.).
Racontez-moi comment, quand, où vous faites cet exercice et ce que vous en tirez comme bénéfice, conclusion, intérêt etc...
Ou juste que cela vous a fait plaisir de le faire ;)

Excellente journée à vous dans cette morne grisaille quotidienne, hein... !

dimanche 15 janvier 2012

Des pensées en vrac. Ou pas.

De retour après cette "longue" absence de mon blog.
Beaucoup de choses qui se sont passées, comme toutes les fins d'années et début de l'année suivante.

Je me suis improvisé bricoleur, et je ne suis pas mécontent du résultat. Le changement de lavabo suite à l'accident (je ne raconterai pas plus, mais c'est une histoire de fou qui commence par un parapluie et qui finit aux urgences...), la réparation du frigo qui fuyait, l’inondation de la machine à laver, l'explosage de lustre avec projection copieuse de verre bien tranchant, et son changement pour une "boule" en papier japonaise (et bob/marcel/raymond/germain/dieu -ou autre- sait combien je hais trifouiller l'électricité... SURTOUT quand les fils sont ceux de 1930 encore...) etc...

Ne me demandez pas comment ont été les fêtes, ce sont les pires que j'ai jamais vécues. Une horreur. Et je ne dis pas du tout ça à cause du paragraphe ci-dessus.
Ces "fêtes" ont été réellement un enfer.
Et encore. En enfer, il paraît qu'il y a du feu. Or les flammes... c'est festif ! Je peux vous dire que l'enfer c'est au contraire un endroit sombre. Humide. Gris. Brumeux. Particulièrement froid. Tellement dépressif qu'un dépressif à côté ressemble à Joyeux des 7 nains.
Selon de nombreux crétins témoignages, c'était les dernières fêtes de toute façon. Bob/marcel/raymond et toute la clique les entende ! 12/12/12, le début de la fin ? ^^
Sur ces jours de fin d'années, j'ai gravé ce qui, je l'espère, sera l'épitaphe d'Eve Angeli et de Nicolas Sarkmoisi : "Plus jamais ça."

Point positif quand même : début décembre, j'ai pris mes "résolutions" de l'année. Contrairement au reste du monde, je n'attends pas le réveillon pour sortir des pseudo-volontés de changement sous l'effet de l'alcool, résolutions qui seront oubliées tout au mieux 1 semaine plus tard, voire le lendemain dans un verre où bouillonnent 2 Efferalgans et un Alka-Seltzer ...
Ayant particulièrement marre de ménager la chèvre, le chou, le beurre, l'argent du chou, celui du beurre et le cul de la crémière -où de la chèvre, selon les goûts-, il m'est venu naturellement à l'esprit ce changement profond dans ma manière de voir les choses. Dans le cas présent, de les exprimer.
Alors oui, ce noël (sans majuscule tant il fut minable) et ce réveillon, il y a des appels que je n'ai pas passés. Des sms que je n'ai pas envoyés. Ou que j'ai écris, puis supprimés. Des choses que j'aurais voulu faire pour moi, pour vous. Mais pour quoi ?
A quoi bon de vouloir semer un bout de printemps si c'est l'hiver ? Le temps sera plus propice peut-être un jour. Et s'il ne l'est pas, ma foi, c'est tant pis.
Mais je me rends compte une fois de plus que je m'égare.
Ma "résolution", que j'aurais plutôt tendance à appeler ma "révolution" est d'avoir, dans un nouvel état d'esprit, une communication directe, entière, de dire les choses, les vérités, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Comme me l'a dit quelqu'un qui m'est cher, "Une vérité fera toujours moins mal qu'un mensonge". Ca résume assez bien.
Jusque là, c'est plutôt positif.
Je me sens plus libre, plus posé. Quoi ? Oui, "Toi tu me fais chier quand tu me dis ... ! " ou "J'adore comment tu t'habilles" ou encore "Nan, vous êtes mes amis, mais vous êtes aussi cons l'un que l'autre de vouloir vous séparer pour une histoire de ..." (ouais, ces deux-là, s'ils passent, ils se reconnaîtront déjà !).
Dire ce qu'il me plaît de dire, et exprimer tout haut mes pensées aussi honnêtement que je pourrai.
Quel homme a les couilles de dire "Je t'aime.", dans les yeux, sans aucune arrière-pensée que celle de vouloir vivre avec celle qu'il sait pouvoir rendre heureuse, et reste immuable dans sa certitude malgré tous les obstacles parce qu'il en est sûr ?
Qui a encore plus la force de le faire tous les jours, parce que c'est tous les jours qu'on se séduit ?
Qui encore se glisse dans un costume en attendant sa belle parce qu'elle adore ça ?
Qui lui prépare un bain aux mille senteurs enivrantes, entouré de bougies ?
Qui lui fait un massage en sortant de ce bain exquis ?
Je ne le fais pas. Non pas parce que je ne le veux pas, mais parce que je n'en ai pas l'occasion. Ca fait aussi partie de l'honnêteté, de pouvoir dire ça.
Donc voilà, 2012 verra un Marc qui sera peut-être un peu trop cash parfois, mais ce sera un mal pour un bien.

Et puis ces derniers jours petit bilan de l'année quand même.
Ben oui.
C'est pas parce qu'on connaît la destination qu'on n'apprécie pas la ballade, hein ?
Je reprends assez souvent l'image en ce moment, je m'en rends compte, mais si tu savais qu'on devait te couper une jambe demain, est-ce-que tu te mettrais dans ton canapé devant la télé ou est-ce-que tu irais courir et sauter jusqu'à bout de souffle ?
M'enfin, soyons d'accord (ou en tout cas, c'est en accord avec moi-même...), l'année fut TRES loin d'être bonne. En fait, l'une des pires.
Maintenant, disons qu'elle est passée.
Que nous allons rendre celle-ci meilleure. Bon, ça part mal, mais faut bosser le sujet !

Je repense souvent à quelques moment de fort bonheur. Des moments d'une intensité telle qu'ils vous sont marqués dans votre chair et votre esprit pour très longtemps.
J'en suis alors venu à penser au pourquoi-comment de ces souvenirs. En voici ma conclusion :
La beauté d'un instant tient au fait qu'il est éphémère. De par sa nature même, donc, il nous glisse entre les doigts.
Le rendant ainsi d'autant plus précieux encore.
Alors oui, je suis d'accord. Ouvrir son âme, son esprit à quelqu'un est comme accepter une opération à cœur ouvert, sans anesthésie.
Il y a forcément un moment où ça commence à faire mal...
Mais parfois on en est capable.
Bon j'arrête là sur ce paragraphe.

Evidemment aussi, l'anniversaire de la mort de Peter, le 10 janvier...Salut à toi, frangin.

Et puis, pour finir sur une note un peu plus joyeuse (oui, j'hésite à employer le mot "gaie" ^^), dès que cette période de merde est passée, on fait une putain d'orgie et une chouille de malade. En Fêtes de Milieu d'Année s'il le faut. Alcool, rock et sexe. Vous aurez l'obligation de ramener le vôtre, d'en user et d'en abuser. Au choix.
Au fait, j'ai trouvé une raison des plus concrètes du pourquoi je déteste l'hiver quand je suis en costar: je hais la sensation des couilles qui se resserrent comme une coquille de noix.
Et si cela vous choque, sachez que la vulgarité a tout au moins le mérite de montrer la vérité, même si c'est de manière un peu crue... ( à méditer ! )

Et deux images pour finir.

La première en forme de clin d’œil. Ca laisse rêveur, hein...



Seconde image ... qui est en fait une vraie photo (merci Gab !!)

Je savais que je n'aurais JAMAIS du signer cette putain de feuille de dons d'organes...





Allez, à très bientôt !

"Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n'est pas la vôtre" - S. Jobs