mardi 8 septembre 2009

Délicieuse aurore.

Encore un jour où j'ai été debout à 05.31 du matin, en pleine forme. Bon, faut dire que je me suis couché la veille peu après 22h00.
Du coup, j'ai petit-déjeuné, fini tout l'administratif que je devais encore faire pour ma boîte, et vagabondé ici et là sur internet pendant une petite demi-heure.
Mais je n'y avais pas trop la tête.
Des souvenirs flottaient devant mes yeux, comme de petites taches sur une peau délicate, avec la douceur de pétales de roses, et l'intensité d'un coin de lèvre mordue au détour d'un regard ou d'une odeur.

Je sens une présence, souriante et complice que je n'avais plus ressentie aussi fort depuis longtemps.

Aucune mélancolie là-dedans, ni pseudo-romantisme, juste un ensemble de sensations très très agréables pour un matin comme celui-là.
Je sais que la journée va être dure, beaucoup de réunions, beaucoup de nouveautés. Alors je profite de ces quelques instants de répit avant le gros rush.

Souriant bêtement (ou pas), jusque sous la douche, jusque dans le métro, les yeux fermés.
Mmmh... Qu'est-ce-que c'est bon...
Ce sont les effluves d'une fleur de feu.

On dit que l'intuition masculine n'existe pas.
Je prouverai le contraire au premier des cons qui me dira ça en face.
Et je sais que quand je ressens quelquechose comme ça, j'ai raison...

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