mercredi 28 mars 2012

... et curieuse nuit.

Deuxième billet en 24h. Faut croire que mes neurones ne sont pas si rouillées que ça...

Après une longue journée, je me suis accordé quelques moments de répit, face au soleil couchant.
Une idée en entraînant une autre, je suis parti dans une série de réflexions, agrémentées de calculs dont je vous épargnerai la chiantise extrême. Après plusieurs heures (oui, je ne suis pas terrible en maths, et j'ai du refaire un paquet de fois ces saloperies d'équations et de multiplications en chaîne pour arriver à les dimensionner correctement), je suis parvenu à un résultat satisfaisant.
Maintenant que je vous ai mis un peu l'eau à la bouche, passons au vif du sujet...


Le monde se bat comme des cons pour lutter contre le réchauffement de la planète, de manière totalement inutile, sachant qu'il y a une certaine inertie des modifications climatiques et qu'on est allé bien trop loin.
Mais j'ai une solution.
Je considère dans mon calcul que, pour une fois, l'humanité soit capable de s'entendre au lieu de se taper sur la gueule pour des conneries de religion, de pétrole ou de conflits d'intérêts. On parle de notre survie, là.

Voici donc ce qu'un calcul suffisamment minimaliste peut donner:
Il nous faut 191 ogives nucléaires de 10 mégatonnes chacune, réparties tout autour du globe, se déclenchant à 60 secondes les unes des autres à un peu plus de 550kms de la surface de la planète.
Les avantages sont multiples.
Le principal intérêt réside dans le fait que vu que les ogives exploseraient à cette altitude, les retombées se retrouveraient piégées dans l'ionosphère, où elles seraient donc inoffensives.
L'autre énorme avantage est que ces explosions plongeraient la Terre dans une sorte d'"hiver nucléaire" pendant environ 1 siècle, permettant par là même aux calottes glaciaires de se reconstituer. La couche d'ozone ne serait même pas effleurée.
Pas de radiation nocive sur la planète.
Concernant la vie sur Terre, la température serait simplement abaissée de quelques degrés, et la lumière du soleil, quoique bien atténuée, n'empêcherait pas la vie.

Fin du calcul et du cours de sciences.

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