vendredi 28 février 2014

Nuit sans sommeil, bis, ter et repetita...

... 4ème édition de la semaine.

4ème nuit sans sommeil.
Il me fuit.
Pour être tout à fait exact, 2h en 3 nuit et cette nuit... Bon ben vu l'heure c'est mal barré aussi...

Mon cerveau fonctionnant à plein régime, j'ai résolu 7 problèmes professionnels, continué une profonde introspection, machiné sur des projets persos ici et là, préparé plein de choses, fait du repassage, repris le visionnage des Castle, vu que je n'arrive ni à regarder True Blood ni Dr Who, réalisé une étude complète sur les champs électromagnétiques et leur incidence sur la matière organique (nous, par exemple), lu de la poésie anglaise, bref, mes nuits sont denses cette semaine.

La semaine qui vient va l'être aussi.
Hormis niveau boulot où ça devient de plus en plus chaud (gros projets de déploiements, délais extrêmement serrés), pas mal d'amis qui ont besoin de soutien, des ruptures...
Et moi qui suis là.

Heureusement, aujourd'hui vendredi, j'ai pris ma journée, je n'en pouvais plus.
Il me faut des vacances, des vraies, celles où je pars au bord de l'eau transparente ... Pas demain la veille ...

Allez, petite respiration de la nuit ...
Pour ceux qui ne la connaissent pas encore, voici un petit bijou de musique mêlant les envolées d'une violoniste talentueuse avec sa composition moderne de dubstep.
Poussez un peu les basses et les aigus, et regardez ce morceau de fraîcheur...



dimanche 23 février 2014

Nuit sans sommeil...

Il y a des nuits où on ne devrait pas rester seul(e)(s)...
Y'a une légende à la con qui dit que lorsqu’on ne parvient pas à dormir, c'est parce qu'on est éveillé dans le rêve de quelqu'un d'autre.
J'espère vraiment que dans ton rêve, je fais des trucs bien, parce que sinon, ça ne vaut vraiment pas le coup que je sois encore éveillé dans cette nuit de samedi à dimanche...


Petite découverte absolument géniale... De la gratte épique comme je l'aime...
 




Et une autre artiste... Les paroles sont forte...


Taste me, drink my soul
Show me all the things that I should'nt known
When there's a blue moon on the rise
I had everything, opportunities for eternity
And I could belong to the night

Eyes, your eyes
I can see in your eyes
Your eyes, everything in your eyes
Your eyes

jeudi 20 février 2014

mardi 11 février 2014

Kick & re-kick dans ta face ...

Intrigué par la lune en rentrant en moto ce soir...
Petit calcul rapide... Et petite sueur dans ma tête...
Bon, je suis très mauvais en calcul. Mais dans le genre TRES mauvais, donc généralement je finis par taper "calc" dans windows quand je veux vraiment calculer un truc... Là, je voulais calculer les jours depuis la dernière pleine lune.

En rentrant donc, je me suis direct rendu sur ma chère appli "Perpetuum", calendrier lunaire sur mon iPhone.
Sueur avérée.
Pleine lune dans la nuit du 14 février.
Allez, le p'tit doublé qui va bien ! En plus de cette fête à la con que j'ai pas envie de voir, je ne vais pas dormir...
Je sens que je vais me mettre une mine vendredi soir... Mais une mine ... Du genre COLOSSALE...

lundi 10 février 2014

Njut njut njut-njut-njut njut-njut njut

Oui, je sais. A ce stade-là, vous me détestez déjà, parce que vous commencez à fredonner la sympathique petite musique Ikea... Njut njut njut-njut-njut njut-njut njut ! Oui, je sais, ça colle dans la tête. Et oui, vous l'aurez pendant un petit moment. C'est cadeau.
Bon, en même temps, vous avez souri.
Ca aussi, c'est cadeau...

Alors pourquoi un tel titre ? Parce que... Activité de ce we : Ikea.
A moto.
Quelques (nombreuses) frayeurs sur la bécane, pluie et rafales de vent latéral, la moto qui se déporte soudainement d'1m, les virages d'entrée sur autoroute à 360° totalement détrempés, les voitures qui roulent n'importe comment, etc...
Et Ikea. Un samedi.
Hormis le fait de me retrouver un peu dans une "maison témoin", c'est la foule.
Les gamins qui hurlent, les familles avec 2 chariots ou plus qui vont dans le sens opposé aux putain de flèches qui indiquent le sens de la marche, le brouhaha général...
 Il me fallait 2 meubles, de la vaisselle et des conneries.
Plan prévu : aller en moto, choisir tout ce qu'il me faut, prendre les trucs dans les allées de l'entrepôt, louer une camionnette, revenir, déposer les trucs chez moi, retourner la camionnette, rentrer en moto.
Changement de plan : aller en moto, regarder ce qu'il y a, en avoir marre au bout d'1 heure, se dire "fuck la camionnette, je commanderai sur internet", du coup, être beaucoup plus serein, finir le tour et passer au restaurant Ikea.
Aaaah le restaurant Ikea. Ce n'est que la seconde fois que j'y vais, mais c'est une madeleine de Proust qui me prend au moment où je croque dans la première boulette de viande...
Puis retour en moto, avec les déboires cités ci-dessus.
Une fois bien au chaud chez moi, je me suis rendu compte que sur certaines choses, Ikea n'était pas si compétitif (genre la vaisselle). Bref, commandes passées.

Njut njut njut-njut-njut njut-njut njut...

Remue méninges I

Triste demi-anniversaire que celui de cette nuit.

Je me suis donné un mois pour réfléchir à ce que je dois faire. Ou ne pas faire. Ce qui me motive. Ou ce qui me fait fuir. Je vais peut-être devoir en parler. Aborder des choses que je n'ai jamais abordées, les verbaliser. Des choses que j'aurais du faire avant cette horrible nuit.
Même si dans un mois ce sera trop tard, qui sait...
Même si je vais haïr cette semaine encore davantage à cause de cette ridicule St Valentin.

mercredi 5 février 2014

Poésie de la nuit...

Je ne savais pas trop comment l'appeler... J'aurais pu l'appeler "Imagination d'une jeune femme", ou "Songerie d'une nuit d'hiver"... Peu importe en fait, j'avais juste envie de l'écrire.
C'est vu, évidemment, par les yeux d'une femme...


La nuit n'est pas encore arrivée à sa moitié
Il fait bon chez moi, le bois du parquet est agréablement chaud
Sous la plante de mes pieds.
J'aime marcher pieds nus.
Mais la journée fut longue
Et je ne vais plus tarder à m'allonger.
Mes cheveux ramassés en une queue de cheval courte,
Glissée dans une nuisette qui me caresse la peau,
Je finis de me préparer.
Un passage dans la cuisine pour y poser une chose,
La cour devant mes yeux est éclairée.
Derrière le voilage, des ombres familières.
Que je vois.
Que je regarde.
Que je ne reconnais pas. Et un doux ronronnement.
Bah ! Salle de bain, le rituel quotidien du soir.
Quelques instants d'ablutions avant l'oubli de la nuit
En repassant par la cuisine, toujours les mêmes ombres.
Une seconde d'hésitation.
Je balaye mes pensées.
Instantanément.
Je file entre les imposants montants de l'entrée de ma chambre.
Et je tire les panneaux coulissants de tissu fin derrière moi.
Fragile séparation.
Voile infime qui me sépare de l'extérieur.
De la nuit.
Les ombres ici sont chassées par une lumière blanche mais tamisée,
D'une étagère fixée au mur et sur laquelle trônent mes bijoux.
Et je vais me glisser sous l'épaisse couette
Plus que quelques minutes encore.
Je veux gratter un peu de temps.
Lire.
Relire.
Mais je sais.
Au fond de moi, je sais.
Je l'ai bien vu, entendu, là-bas, j'en suis certaine.
J'éteins ma lumière, vérifie mon réveil.
Et je me roule dans la couette, comme un nem.
Un soupir, mes yeux ouverts, qui s'habituent à l'obscurité petit à petit.
Mes pensées qui partent comme à chaque nuit dans tous les sens.
Je ferme les yeux --Vite Morphée, viens m'arracher et m'emmener
Dans le doux oubli de tes bras je veux m'enfoncer.
Cette nuit encore je vais rêver...