Hey-eyo !
Depuis quelques semaines, c'est récurrent.
La faute à quoi, à qui ? Probablement une partie due au boulot, à moi.
A ce putain de cerveau qui ne cesse jamais de tourner, de chercher, de creuser, de questionner, de décider, parfois à raison, parfois à tort, de trouver des réponses qui n'en sont pas, d'imaginer, de créer des images, des situations ...
Comment savoir si telle ou telle décision est juste, bonne, si on ne peut vivre les situations qui engendrent cette situation, les alternatives ?
"C'est un pari sur l'avenir".
Je ne veux pas faire de pari, encore moins sur des choses importantes comme l'avenir !!
Hey-eyo ! Don't look now...
Bref, des soirées un peu moroses, ou sans grand plaisir, que j'étouffe dans l'absorption de mes projets que je mène avec mon associé et ami.
Hier soir, probablement du fait du manque de sommeil répétitif (et d'une journée qui s'est tournée bizarrement, mais dans laquelle j'ai fait des choses que je devais faire depuis un moment, niveau taff et perso), j'ai eu un gros coup de mou.
On l'a tous ressenti un jour ou l'autre. Cet espèce de blues qui te prend au tripes alors que tout son être hurle "non, Non, NON, NOON, NOOOON, NAAAAAAAN ! JE VEUX PAS !!!".
Et on ne peut rien y faire, ça vient quand même.
Au mieux, on se met à écouter des musiques (qui moi m'enfoncent généralement encore plus dans le blues. Parce que, oui, c'est ce que j'ai fait, évidemment... Hey-eyo ! Ce serait pas drôle sinon...).
Alors ressurgissent des fantômes du passé.
Et mon cerveau se met à carburer aux idées d'un violet sombre. Oui, cet état possède une couleur pour moi, et c'est le violet sombre.
Bref.
Le meilleur est à venir. Hey-eyo.
Don't look now, the best is yet to come. Hey-eyo.
Take my hand, the best is yet to come...
J'espère. Parce que là, c'est un poil difficile.
Allez, je partage. Une chanson magnifique, après tout, de mes vieux amis Scorpions.
Hey-eyo !
// Rien à voir, mais pour consignation :
Cette semaine, (le 25/9) des cartons d'une pile dans mon bureau sont tombés. Enfin, tombés.
J'ai retrouvé un carton (celui du sommet) à la porte (et celui juste en-dessous à côté).
Ce qui signifie qu'il a parcouru environ 7.5 mètres (diagonale de la pièce).
Vaisselle cassée un peu partout (assiettes et verre), qui était posée sur une table intermédiaire.
Aucun signe de faiblesse sur les parois des autres cartons en-dessous (au cas où l'un aurait flanché et aurait de fait initié la chute).
Inexplicable. A moins d'une poussée violente.
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